Voila, c'est un petit texte que j'avais écrit y'a quelques mois, oublié et je suis retombé dessus en me disant " mais c'est d'actualité ça! Publions le sur Trance-goa! Dites moi ce que vous en pensez
Jeudi 17 juin 2010. 15 heures, 50 minutes. Pierre Sevestre, "Homo sapiens sapiens" de sexe masculin, et de groupe sanguin B +, écoute de la "Trance Psychédélique". Ces sonorités variées en phase avec une ligne de basse, provoquent chez lui un phénomène couramment appelé "frisson", qui consiste en une élévation des poils que l'ont trouve éparpillés sur son corps. Ce phénomène est mal connu, on suppose qu'il s'agit d'un vieux réflexe, qui remonte aux origines de l'homme, quand celui-ci était plus abondamment poilu; ce stratagème permettait alors de se protéger du froid ou de paraître plus imposant face à un éventuel prédateur, prétendent les scientifiques. Mais Pierre s'interroge sur la nature de ce phénomène. Seul, dans son salon, il n'y a en effet aucun ennemi à impressionner,et la température de 25.7c° ne laisse aucune place au froid. Cette réaction impromptue de sa pilosité le pousse à reconsidérer son statut d'organisme. Il se convaint d'être plus, de ne pas être qu'un amas cellulaire, dôté d'une conscience et d'un savoir. Et tandis que virevolte la basse, le frisson se faisant plus fort, un phénomène de symbiose sans précédent se meut en Pierre. Celui ci, les yeux fermés, voyage, et communique avec un monde que trop ignorent, un monde mystique, d'énergies et d'échanges, une union mystique avec sa mère Gaïa. ( Rappelons que, malgré un passé douteux, Pierre n'est sous l'emprise d'aucune substance pouvant altérer d'une manière ou d'une autre sa conscience).
L'évolution nous mène droit à la dévolution, et c'est dans celle-ci même que l'Humanité trouvera une voie harmonieuse et unique, la poussant toujours plus haut dans sa merveilleuse épopée. Au commencement, l'Homme vivait du sein de sa mère, et aujourd'hui, noyant celle-ci dans ses fèces, il ne peut que régurgiter le lait donné, espérant ainsi alléger le lourd fardeau qui pèse sur Terre G^ïa, dont il est une des merveilleuses créations, et sans nul doute la plus importante. La conscience, qui nous est venu par le fruit de l'évolution, n'est pas un hasard. Certains y voient un lien avec "Dieu". "Dieu" existe : il est dans chaque goutte d'eau, dans chaque racine de chaque petite fleur et dans tout battement de coeur.
Cette conscience, est là pour faire de nous les gardiens de ce temple sacré, de ce " Jardin d'Eden" qu'est la planète Terre. Pour être le point absolument central d'une balance, qui depuis bien longtemps à perdu l'équilibre. En nous détournant de cette voie, nous nous détournont de l'essence même qui fait de nous ce que nous sommes, réduits à des échanges plastiques et tristement synthétiques, tandis que une poignée se bat pour difficilement faire entendre ses droits.
Un crime odieux se commet, sous nos yeux même.
La fabuleuse odysée de l'Humanité, singe devenu mi-dieu, nous amène à faire un choix, un choix entre ce que nous sommes, ce que nous deviendront et ce que nous pourrions devenir.
D'aucuns s'ostracisent, d'autres se marginalisent, certains font voeu de silence, et d'autres n'ont pas la chance de pouvoir faire un choix, ils ne vivent pas, ils survivent, tandis que d'autres "sous-vivent".
Devenons les pasteurs que nous devons être! Défaussons nous de la bassesse qui nous pousse aujourd'hui à amasser des pseudos-richesses. Le miracle de la vie, voila la seule vraie richesse, indomptable, incomptable, pérenne. Le commerce, qui commenca par rapprocher entre elles les différentes peuplades de notre planète, a fini par complètement les éloigner, le monde "moderne", et ses " atouts majeurs", nous plonge dans un abîme d'incertitude et nous incite au clanisme, à la séparation...
Ce discours est celui d'un jeune homme, qui ne trouve pas sa place dans une société cannibale. Sa place est dans l'échange formidable que lui propose mère Nature, sa place est au coeur de chaque brin d'herbe, au noyau même de tout atome vivant, dans une pluie cosmique de projections astrales qui l'illuminent. Un jour viendra ou il mourra, et il attend sereinement cette fatalité. Car il sait qu'au moment même ou il partira, il se retrouvera là ou se trouve une vérité oubliée par ses frères humains.
Mais il est 16h18, et l'horloge factice tourne. Le soleil poursuit sa course vers le repos, et , tandis que dehors fleurit la vie, Pierre, que les frissons commencent à quitter, va se lever. Il va aller dehors, et marcher jusqu'a la mer. Là, il entrera dans l'eau, (qui n'est somme toute qu'un prolongement de l'être de chair qu'il est ) et se posera cette question: Pourquoi?
Jeudi 17 juin 2010. 15 heures, 50 minutes. Pierre Sevestre, "Homo sapiens sapiens" de sexe masculin, et de groupe sanguin B +, écoute de la "Trance Psychédélique". Ces sonorités variées en phase avec une ligne de basse, provoquent chez lui un phénomène couramment appelé "frisson", qui consiste en une élévation des poils que l'ont trouve éparpillés sur son corps. Ce phénomène est mal connu, on suppose qu'il s'agit d'un vieux réflexe, qui remonte aux origines de l'homme, quand celui-ci était plus abondamment poilu; ce stratagème permettait alors de se protéger du froid ou de paraître plus imposant face à un éventuel prédateur, prétendent les scientifiques. Mais Pierre s'interroge sur la nature de ce phénomène. Seul, dans son salon, il n'y a en effet aucun ennemi à impressionner,et la température de 25.7c° ne laisse aucune place au froid. Cette réaction impromptue de sa pilosité le pousse à reconsidérer son statut d'organisme. Il se convaint d'être plus, de ne pas être qu'un amas cellulaire, dôté d'une conscience et d'un savoir. Et tandis que virevolte la basse, le frisson se faisant plus fort, un phénomène de symbiose sans précédent se meut en Pierre. Celui ci, les yeux fermés, voyage, et communique avec un monde que trop ignorent, un monde mystique, d'énergies et d'échanges, une union mystique avec sa mère Gaïa. ( Rappelons que, malgré un passé douteux, Pierre n'est sous l'emprise d'aucune substance pouvant altérer d'une manière ou d'une autre sa conscience).
L'évolution nous mène droit à la dévolution, et c'est dans celle-ci même que l'Humanité trouvera une voie harmonieuse et unique, la poussant toujours plus haut dans sa merveilleuse épopée. Au commencement, l'Homme vivait du sein de sa mère, et aujourd'hui, noyant celle-ci dans ses fèces, il ne peut que régurgiter le lait donné, espérant ainsi alléger le lourd fardeau qui pèse sur Terre G^ïa, dont il est une des merveilleuses créations, et sans nul doute la plus importante. La conscience, qui nous est venu par le fruit de l'évolution, n'est pas un hasard. Certains y voient un lien avec "Dieu". "Dieu" existe : il est dans chaque goutte d'eau, dans chaque racine de chaque petite fleur et dans tout battement de coeur.
Cette conscience, est là pour faire de nous les gardiens de ce temple sacré, de ce " Jardin d'Eden" qu'est la planète Terre. Pour être le point absolument central d'une balance, qui depuis bien longtemps à perdu l'équilibre. En nous détournant de cette voie, nous nous détournont de l'essence même qui fait de nous ce que nous sommes, réduits à des échanges plastiques et tristement synthétiques, tandis que une poignée se bat pour difficilement faire entendre ses droits.
Un crime odieux se commet, sous nos yeux même.
La fabuleuse odysée de l'Humanité, singe devenu mi-dieu, nous amène à faire un choix, un choix entre ce que nous sommes, ce que nous deviendront et ce que nous pourrions devenir.
D'aucuns s'ostracisent, d'autres se marginalisent, certains font voeu de silence, et d'autres n'ont pas la chance de pouvoir faire un choix, ils ne vivent pas, ils survivent, tandis que d'autres "sous-vivent".
Devenons les pasteurs que nous devons être! Défaussons nous de la bassesse qui nous pousse aujourd'hui à amasser des pseudos-richesses. Le miracle de la vie, voila la seule vraie richesse, indomptable, incomptable, pérenne. Le commerce, qui commenca par rapprocher entre elles les différentes peuplades de notre planète, a fini par complètement les éloigner, le monde "moderne", et ses " atouts majeurs", nous plonge dans un abîme d'incertitude et nous incite au clanisme, à la séparation...
Ce discours est celui d'un jeune homme, qui ne trouve pas sa place dans une société cannibale. Sa place est dans l'échange formidable que lui propose mère Nature, sa place est au coeur de chaque brin d'herbe, au noyau même de tout atome vivant, dans une pluie cosmique de projections astrales qui l'illuminent. Un jour viendra ou il mourra, et il attend sereinement cette fatalité. Car il sait qu'au moment même ou il partira, il se retrouvera là ou se trouve une vérité oubliée par ses frères humains.
Mais il est 16h18, et l'horloge factice tourne. Le soleil poursuit sa course vers le repos, et , tandis que dehors fleurit la vie, Pierre, que les frissons commencent à quitter, va se lever. Il va aller dehors, et marcher jusqu'a la mer. Là, il entrera dans l'eau, (qui n'est somme toute qu'un prolongement de l'être de chair qu'il est ) et se posera cette question: Pourquoi?