Vous êtes organisateurs des soirées (légales) de musiques électroniques, vous rencontrez des difficultés, faîtes le nous savoir !
A l’heure où deux nouveaux ministres prennent leurs fonctions au Ministère de la Culture, de la Communication ainsi qu’au ministère de l’Intérieur, Technopol et Hadra se réunissent pour lancer un appel à témoignage aux organisateurs qui subissent des difficultés en amont, pendant ou après l’organisation de leurs événements (soirées, festivals) électro (tous styles confondus).
L’année 2009 est d’ores et déjà marquée par des annulations d’évènements électroniques. Le festival Hadra, malgré le fait qu’il soit un véritable succès et qu’il remplisse toutes les conditions légales et juridiques, n’aura pas lieu dû à l’impossibilité de trouver un terrain dans l’Isère. Le festival Electroclique de Besançon ne se déroulera pas également faute de lieu.
Parallèlement, les organisateurs de soirées électroniques (légales), quelques soient leur dimension, rencontrent des difficultés : absence de réponse à leurs demandes de locations de lieux, pression sur les loueurs de salles, maximalisation des risques liés à leurs soirées...
Les raisons, quand elles sont données, démontrent la plupart du temps une phobie et une parano des pouvoirs publics envers les événements électro qui ne voient en eux qu’un risque de « trouble à l’ordre public ». Il apparaît clair également que l’amalgame entre les événements, ceux relavant de l’ordonnance de 45 et ceux du décret « Marianni » est vivace et entraîne toujours des confusions entre « soirée electro, festivals, tecknival, rave, free-party ... ».
Ainsi, faire le choix de la légalité et de la professionnalisation pour un organisateur n’entraîne pas pour autant une meilleure compréhension des autorités, ni l’assurance que son projet de soirée verra le jour. Il entraîne simplement plus de démarches administratives, juridiques, financières et fiscales.
Technopol et Hadra souhaitent interpeller les nouveaux ministres de la Culture et de l’Intérieur sur cette situation et demander l’ouverture d’une concertation nationale sur les problèmes rencontrés par les organisateurs de soirées légales. Pour ce faire, nous souhaitons compiler précisément les problèmes rencontrés afin d’avoir un état des lieux le plus précis. Envoyez nous vos témoignages et si possible tous les documents écrits (courrier de refus, arrêtés municipaux/préfectoraux....). N’hésitez pas également à nous contacter pour nous faire part de vos remarques, questions, réflexions...
Seule votre mobilisation et la mise en place d’un dialogue permettront aux évènements électro légaux de prendre sereinement la place qui leur revient dans le paysage culturel français.
Nous comptons sur vous.
ENVOYER VOS TEMOIGNAGES à temoignage@technopol.net
TECHNOPOL HADRA www.techopol.net www.hadra.net Tel : 01 53 36 04 19 Driss BOUAYAD 06 63 80 28 07 info@technopol.net hadra@hadra.net
A l’heure où deux nouveaux ministres prennent leurs fonctions au Ministère de la Culture, de la Communication ainsi qu’au ministère de l’Intérieur, Technopol et Hadra se réunissent pour lancer un appel à témoignage aux organisateurs qui subissent des difficultés en amont, pendant ou après l’organisation de leurs événements (soirées, festivals) électro (tous styles confondus).
L’année 2009 est d’ores et déjà marquée par des annulations d’évènements électroniques. Le festival Hadra, malgré le fait qu’il soit un véritable succès et qu’il remplisse toutes les conditions légales et juridiques, n’aura pas lieu dû à l’impossibilité de trouver un terrain dans l’Isère. Le festival Electroclique de Besançon ne se déroulera pas également faute de lieu.
Parallèlement, les organisateurs de soirées électroniques (légales), quelques soient leur dimension, rencontrent des difficultés : absence de réponse à leurs demandes de locations de lieux, pression sur les loueurs de salles, maximalisation des risques liés à leurs soirées...
Les raisons, quand elles sont données, démontrent la plupart du temps une phobie et une parano des pouvoirs publics envers les événements électro qui ne voient en eux qu’un risque de « trouble à l’ordre public ». Il apparaît clair également que l’amalgame entre les événements, ceux relavant de l’ordonnance de 45 et ceux du décret « Marianni » est vivace et entraîne toujours des confusions entre « soirée electro, festivals, tecknival, rave, free-party ... ».
Ainsi, faire le choix de la légalité et de la professionnalisation pour un organisateur n’entraîne pas pour autant une meilleure compréhension des autorités, ni l’assurance que son projet de soirée verra le jour. Il entraîne simplement plus de démarches administratives, juridiques, financières et fiscales.
Technopol et Hadra souhaitent interpeller les nouveaux ministres de la Culture et de l’Intérieur sur cette situation et demander l’ouverture d’une concertation nationale sur les problèmes rencontrés par les organisateurs de soirées légales. Pour ce faire, nous souhaitons compiler précisément les problèmes rencontrés afin d’avoir un état des lieux le plus précis. Envoyez nous vos témoignages et si possible tous les documents écrits (courrier de refus, arrêtés municipaux/préfectoraux....). N’hésitez pas également à nous contacter pour nous faire part de vos remarques, questions, réflexions...
Seule votre mobilisation et la mise en place d’un dialogue permettront aux évènements électro légaux de prendre sereinement la place qui leur revient dans le paysage culturel français.
Nous comptons sur vous.
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