Comme Astropolis, Orejona est victime de discrimination culturel,ci dessous l'arreté municipal pondu à 3 semaines de l'evenement mais rassurez vous comme Astropolis ,nous ne baisserons pas les bras. Mise en place du plan "Oreyona prend d'assaut le Fort de Cussac". Nous entrons en résistance dans contre la Chiraquie Sarkosyenne.
ARRETE MUNICIPAL 45-2002
Département GIRONDE
Arrondissement BORDEAUX
Canton CASTELANU MEDOC
Mairie CUSSAC FORT MEDOC
Objet : Interdiction de manifestation OREJONA au Fort Médoc.
Le Maire de la commune de Cussac Fort Médoc
Vu le Code général des Collectivités territoriales et notamment ses artciles L
2212-1, L 2212-2,
Vu l’ordonnance N° 45-2339 du 13 octobre 1945 relative aux spectacles ;
Vu la demande présentée par Monsieur Jean-Emmanuel KOUTOUZIS, représentant
l’association OREJONA, en vue
d’organiser un festival dans l’enceinte du Fort MEDOC du 15 août 2002,
Considérant les informations fournies par la Gendarmerie de Castelnau-Médoc,
Considérant qu »un public de 30 000 personnes est attendu alors que la capacité
d’accueil du Fort Médoc n’est que de 10 000
personnes,
Considérant que l’exercice de cette activité risque au bon ordre et à la
tranquilité publique
ARRETE
ARTICLE 1 :
La manifestation OREJONA prévue au Fort Médoc du 15 au 16 août 2002 est
interdite.
ARTICLE 2 :
Ampiliation du présent arrêté est transmise à :
- Monsieur le sous-préfet à Lesparre-Médoc
- Monsieur le Commandant du Groupement de Gendarmerie
- Monsieur Jean-Emmanuel KOUTOUZIS, président de Orejona
- Monsieur le Garde-Champêtre,
Chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté.
Fait à CUSSAC FORT MEDOC, le 24 Juillet 2002.
Le Maire,MrMartin.
Et la lettre ouverte aux PP, et à Messieurs dames des différents MinistRatures.
Association OREJONA loi 1901
Chez Maître Muller
29, cours Alsace Lorraine
33000 Bordeaux
lundi 29 juillet 2002
LETTRE OUVERTE
A l'attention du Préfet de la Gironde, du Sous-préfet de Lesparre, du Président du Conseil Régional, du Président du Conseil Général, du Ministre de l'intérieur, du Ministre de la Culture, du Maire et du conseil municipal de Cussac Fort-Médoc.
Au nom de l'association OREJONA représentante et partie active de la culture fondée sur les musiques électroniques, nous réclamons pour notre festival éponyme le droit à l'existence.
Le revirement tardif de la mairie de Cussac Fort-Médoc (23/07/02) met en péril notre association. L'argument avancé par la commission municipale "cadre de vie et développement", c'est à dire la venue de 30 000 personnes est totalement infondé. Notre expérience dans ce type de manifestation ainsi que les exemples nationaux nous démontrent au contraire qu'il faut attendre environ 5 000 personnes.
Nous pensons que le conseil municipal a été désinformé sur nos intentions.
En suivant scrupuleusement le décret n° 97-646 du 31 mai 1997 Relatif à la mise en place de services d'ordre par les organisateurs de manifestations sportives,
récréatives ou culturelles à but lucratif (JO du 1 juin 1997 page 8692), tout a été réalisé en matière de demande d’autorisations administratives, sécurité, sonorisation, logistique, pour respecter le cadre de vie des habitants de Cussac Fort-Médoc et pour le confort des festivaliers.
A contrario, nous pensons que notre manifestation musicale, au même titre que le jazz est un élément de la culture en Médoc qui fait vivre un lieu mis en conformité pour l'accueil de 10 000 personnes.
Les nombreux prestataires professionnels et les artistes sont atterrés par ce revirement, que dire des festivaliers.
La culture électronique doit pouvoir s'exprimer ailleurs que dans les free-party puisque c'est la volonté du gouvernement, nous nous inscrivons dans cette politique en suivant les règles de la loi. Nous voulons nous faire écouter à défaut de nous faire entendre.
La gendarmerie, malgré nos appels refuse de nous voir et reste sourde à tout dialogue, que peut-elle répondre aux festivaliers déçus ?
Cette charge nous incombe, sans parler de la charge financière.
L'annulation du festival ne dépend pas d'une mauvaise organisation ou d'un danger hypothétique mais uniquement d'une mauvaise volonté et d'engagements non tenus.
Notre culture subit d'emblée un a priori négatif, pour les jeunes que nous sommes et que nous représentons, c'est une négation de notre droit à créer, un camouflé à nos initiatives.
Nous réclamons instamment une réunion multipartite pour que puisse exister le festival OREJONA à Cussac Fort-Médoc
Signé les présidents
Mr Koutouzis
Mr Villetti
ARRETE MUNICIPAL 45-2002
Département GIRONDE
Arrondissement BORDEAUX
Canton CASTELANU MEDOC
Mairie CUSSAC FORT MEDOC
Objet : Interdiction de manifestation OREJONA au Fort Médoc.
Le Maire de la commune de Cussac Fort Médoc
Vu le Code général des Collectivités territoriales et notamment ses artciles L
2212-1, L 2212-2,
Vu l’ordonnance N° 45-2339 du 13 octobre 1945 relative aux spectacles ;
Vu la demande présentée par Monsieur Jean-Emmanuel KOUTOUZIS, représentant
l’association OREJONA, en vue
d’organiser un festival dans l’enceinte du Fort MEDOC du 15 août 2002,
Considérant les informations fournies par la Gendarmerie de Castelnau-Médoc,
Considérant qu »un public de 30 000 personnes est attendu alors que la capacité
d’accueil du Fort Médoc n’est que de 10 000
personnes,
Considérant que l’exercice de cette activité risque au bon ordre et à la
tranquilité publique
ARRETE
ARTICLE 1 :
La manifestation OREJONA prévue au Fort Médoc du 15 au 16 août 2002 est
interdite.
ARTICLE 2 :
Ampiliation du présent arrêté est transmise à :
- Monsieur le sous-préfet à Lesparre-Médoc
- Monsieur le Commandant du Groupement de Gendarmerie
- Monsieur Jean-Emmanuel KOUTOUZIS, président de Orejona
- Monsieur le Garde-Champêtre,
Chargés, chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté.
Fait à CUSSAC FORT MEDOC, le 24 Juillet 2002.
Le Maire,MrMartin.
Et la lettre ouverte aux PP, et à Messieurs dames des différents MinistRatures.
Association OREJONA loi 1901
Chez Maître Muller
29, cours Alsace Lorraine
33000 Bordeaux
lundi 29 juillet 2002
LETTRE OUVERTE
A l'attention du Préfet de la Gironde, du Sous-préfet de Lesparre, du Président du Conseil Régional, du Président du Conseil Général, du Ministre de l'intérieur, du Ministre de la Culture, du Maire et du conseil municipal de Cussac Fort-Médoc.
Au nom de l'association OREJONA représentante et partie active de la culture fondée sur les musiques électroniques, nous réclamons pour notre festival éponyme le droit à l'existence.
Le revirement tardif de la mairie de Cussac Fort-Médoc (23/07/02) met en péril notre association. L'argument avancé par la commission municipale "cadre de vie et développement", c'est à dire la venue de 30 000 personnes est totalement infondé. Notre expérience dans ce type de manifestation ainsi que les exemples nationaux nous démontrent au contraire qu'il faut attendre environ 5 000 personnes.
Nous pensons que le conseil municipal a été désinformé sur nos intentions.
En suivant scrupuleusement le décret n° 97-646 du 31 mai 1997 Relatif à la mise en place de services d'ordre par les organisateurs de manifestations sportives,
récréatives ou culturelles à but lucratif (JO du 1 juin 1997 page 8692), tout a été réalisé en matière de demande d’autorisations administratives, sécurité, sonorisation, logistique, pour respecter le cadre de vie des habitants de Cussac Fort-Médoc et pour le confort des festivaliers.
A contrario, nous pensons que notre manifestation musicale, au même titre que le jazz est un élément de la culture en Médoc qui fait vivre un lieu mis en conformité pour l'accueil de 10 000 personnes.
Les nombreux prestataires professionnels et les artistes sont atterrés par ce revirement, que dire des festivaliers.
La culture électronique doit pouvoir s'exprimer ailleurs que dans les free-party puisque c'est la volonté du gouvernement, nous nous inscrivons dans cette politique en suivant les règles de la loi. Nous voulons nous faire écouter à défaut de nous faire entendre.
La gendarmerie, malgré nos appels refuse de nous voir et reste sourde à tout dialogue, que peut-elle répondre aux festivaliers déçus ?
Cette charge nous incombe, sans parler de la charge financière.
L'annulation du festival ne dépend pas d'une mauvaise organisation ou d'un danger hypothétique mais uniquement d'une mauvaise volonté et d'engagements non tenus.
Notre culture subit d'emblée un a priori négatif, pour les jeunes que nous sommes et que nous représentons, c'est une négation de notre droit à créer, un camouflé à nos initiatives.
Nous réclamons instamment une réunion multipartite pour que puisse exister le festival OREJONA à Cussac Fort-Médoc
Signé les présidents
Mr Koutouzis
Mr Villetti