Musiques extremes...

Suite à de récents evenements musicaux chroniqués par la presse ou pour lesquels j'étais présent ou dénonciateur, je m'interroge sur la montée de l'extrémisme musical et culturel aux seins de certaines mouvances radicales.
Que des contre-cultures musicales émergent face à la culture dominante et cherchent indirectement à saper ou faire évoluer les mentalités et permettent à des modes de pensée ou de vie différents de s'affirmer, nous en convenons tous je pense, est l'essence du rock'n'roll et de ses dérivés. Néanmoins, on peut tout de meme se poser la question des limites que certaines mouvances dépassent largement. Le fait de les transgresser est-il symbole de liberté absolue ou  d'inconscience collective ? Tout est-il permis, peut-on tout dire et tout faire sous pretexte que la musique est un champ experimental des plus vastes, et que s'attaquer à elle c'est dénigrer à l'autre son droit à la différence culturelle ? Peut-on permettre un certain dérapage sémantique quand il prone l'anarchie, la destruction, la démence mentale ou la haine ?
Prenons comme premier exemple, celui de ces derniers jours, la free-party de Bourges.  Ce que certains appellent un TAZ selon l'expression politique détournée de Hakim Bey, ce que moi j'appelle un camp Mad-Max... Branche dissidente de la tekno, beaucoup plus proche de la gabber que de la house   Smiley , la free-party est une dévoyance culturelle à la francaise des premières rave-parties géantes organisé en Europe. Originellement, le son tekno n'ayant pas eu sa place au sein de la culture club, de la culture de masse et manifestait comme toute contre-culture émergente un souci de clandestinité, d'underground et d'hermétisme. Aussi bien les teufs à l'ile de Wight (KLF ?), les raves-parties des hangars parisiens, le tresor club de Berlin, l'underground de l'aéroport de Frankfort, les mayday, les gaia, les bonzai, les blanco y negro, les premieres love parade de delgado/lopez et Dr Motte... font partie de ces premieres manifestations. Mais  avec la reconnaissance culturelle, l'élargissement du son tekno, la récupération médiatique, l'imagerie 'cool' véhiculée, la disparition des premieres mouvances (new beat, acid, bakalao, hiphouse, trance gégorienne..) la tekno s'intègre à la culture générale. D'ou la dissidence, qui s'exprime aussi bien en France par la hardtek, la makina en espagne, la gabber en Hollande qui revendique une résistance à la récupération et se radicalise fortement à tous niveaux. Loin de l'imagerie happy, le graphisme devient dur, monochrome, les tenues se kakisent et se militarisent, la drogue pullule et le son des plus apocalyptiques. Pas étonnant alors que ce phénomène englobe tous les anarchistes de la société et les anciens de mouvements déliquescents (punk, oi, hardcore, rock alternatif francais..). Ainsi Manu le malin ancien red-skin (selon certains pas si rouge.. le block 46 étant une référence des plus ignobles) se reconvertit, alec empire aussi..
Malheureusement, au sein d'une déviance aussi radicale, on ne peut constater que le virage outre-militaire, la montée d'une consommation stupéfiante de drogue, d'une musique rébarbative, violente, agressive et plus que médiocre.. d'ou le constat d'un camp mad-max ! Rasés à chiens, camions gonflés à bloc, tenues militaires, sound-systems agressifs, drogues comme nouveaux pétroles, vente à la criée et anarchie de tous bords, pollution en overdose...
Second exemple, tiré lui aussi des derniers evenements sociologiques, l'influence du rap. Que le rap soit une culture à part entière, décliné en de nombreuses catégories et issu d'une volonté de s'inventer de sa propre culture urbaine, ses propes codes vestimentaires et lexicaux, et que le phénomène soit conséquent (première musique en France), pas de problème. Mais quand le rap appelle à la révolte, à la haine, au machisme et insulte copieusement, on peut tout de meme s'interroger sur les effets pervers sur la psychologie des auditeurs. Le rap est par nature un slogan, le phrasé percute et uppercute, le slogan se fait litanie et marque les esprits, bien plus que d'autres styles musicaux avec leur refrain... D'ou les effets pervers d'une frange du rap qui s'est radicalisé depuis et avec NTM qui a développé et empiré le contexte qu'il denoncait : la frontière entre dénonciation et apologie est parfois si tenue, certains entretenant la dualité...
Troisième exemple : le métal et le gothique. Que le rock ait eu une déviance violente à travers le hard-rock, c'est typique d'une jeunesse qui a besoin d'exulter sa colère et d'exprimer sa nervosité, voire de hurler sa folie.. Que certains nordiques aient besoin d'exalter leur atavisme culturel (kill them all de metallica  Smiley ) ou qu'ils transgressent à coup de zombies ou de giclées de sang, passe encore.. Mais quand les derniers avatars de Thor flirtent largement avec la culture satanique, avec le fascisme guerrier ou la folie schizophrene, on peut certainement se poser la question du bien-fondé et de l'évolution de cette culture ? En particulier l'émergence du black metal en Europe devient inquiétant, la distanciation de l'art(?)  avec la vie réelle tend à se réduire vis-à-vis d'autant plus qu'elle est conforté par un certain nombre d'autres franges d'arts concomittants... Quant au gothique & consorts, issu de six groupes anglais fondateurs (sisters of mercy, Bauhaus, joy division, Dead can dance, Throbbing Gristle et le Serpent), le phénomène prend lui aussi de l'ampleur, de la diversité mais aussi de la radicalité. Entre l'électro_industriel allemande des plus torturés (coté bourreau) et la propagation du satanisme via la résurgence des alter_ego esotériques fin de siècle anglais et autrichiens, dont manson par exemple c'est longtemps fait le reverend (version américaine), on ne peut que dénoncer un nazisme rampant dans la frange d'un mouvement qui a trait à la noirceur ou à l'étrange. Et ceci meme en France.. D'un Onuphrius à Maurras et Bloy en passant par le Sar Peladan, le dérapage est conséquent...
Quatrième exemple : la mouvance psychedelique. Bien qu'auréolée d'une aura positive et d'une imagerie festive et happy people, on ne peut nier que le dévoiement de la jeunesse en particulier par la drogue a mené et mène toujours les plus marginaux à des excès des plus douteux. Que l'on prenne plaisir à lire Acid test, possible, mais il n'en reste que les happy pranksters présentent de nombreuses zones d'ombres des plus glauques, des exces de lsd qui mène à la folie de certains, la concomittance avec les hells angels ou la démence précoce d'autres.. comme Manson, membre éminent de haight ashbury... Ou meme en lisant le festin nu beatnik, la débilité du personnage est profonde. Quant à Flash de Duchaussois, quand un toxcaid rencontre le Népal, c'est vraiment l'aboutissement de l'homme ravalé à la bassesse : roman ignoble. Roman initiatique : que nenni, aucun mot des pays traversés, par contre que de fix... Quant au psychédelisme actuel, que ce soit le revival nick drake teinté de beatles de devendra benhart, Antony and the Johnsons & consorts et leurs "amis" des plus étranges, et le serpent se mord la queue, ou de l'émergence de la dark-psytrance, tout n'est pas rose chez les psyché...
En gros comment voir uniquement les plus mauvais cotés de chaque courant
c'est une vision avec des oeillères un peu là quand même...
tout n'est pas rose, tout court, et alors? quoi de neuf?
Interessant mais c'est vrai que c'est trop négatif. Rappelons qu'à l'époque, les beatles, les Rolling Stones, les Doors, les Pink Floyd et autres étaient considérés eux aussi comme des moins que rien et des dépravateurs de jeunesse. Tout est affaire d'époque, de modes, de mentalités et de cultures....

Quand aux milieux artistiques, ils subissent finalement la même incompréhension...

Que dire de Jules Verne considéré comme un raté à son époque (aujourd'hui l'auteur le plus vendu de toute l'histoire....), de Baudelaire ce "dépravé" incompris (Mon Dieu, il prenait de la ganja et se tapait des prostituées !) aujourd'hui un des auteurs ayant un des plus belle patte littéraire, que dire de Van Gogh aussi ? Etc, etc....

Bref, je pense que si l'on en recause dans 10 ou 20 ans, il y aura d'autres courants pires encore et on prendra ceux actuels comme des mouvements pour bisounours.

Imho bien sur. Smiley
je suis d'accord avec budha sauf pour le dernier paragraphe car ca on en sait rien par contre ton texte est trop negatif beaucoup trop la tu conforterait dans ca pense le beauf de base qui n'ecoute que celine dion et qui pense que tout les genres musicaux dis nouveau ne sont que pour les delinquant drogue et ignorant (remarque en disant ca on l'est aussi)

Moi par exmple la psytrance ma ouvert une nouvelle voix le psychedelisme le cote happy et petit a petit je me renseigne sur la spiritualite pour moi cette musique ne m'apporte jusqu'a present que du positif elle ma peris de sicuter meme si ce n'est que par l'intermediaire d'internet avec des gens qui connaisse se mouvement mieux que moi et qui m'apporte des chose


Apres pour revenir a ton texte je trouve que c'est limite exagerer et c'est mettre tout el monde dans le meme sac et j'en suis desole mais chaque mouvement a son cote lumineux et son cote sombre et la plupart des cote sombre ne sont que la minorite meme si je suis d'accord sur le fait que la drogue fait quand meme de beaux degat en teknival et free et en teuf goa mais on peut remarquer que ce ne sont pas les meme drogue qui circule en majorite dans ces deux branche

Je trouve ca interessant de se pose des question sur ces courant musicaux aussi varier qu'ils soient mais il ne faut pas voir que l'aspect negatif il faut avoir l'esprit plus large et tout observer meme si parfois c'est dure  Smiley  Smiley
et aussi, c'est un peu chiant a lire!! Smiley
ça manque d'aération...
fasspot wrote :
et aussi, c'est un peu chiant a lire!! Smiley
ça manque d'aération...




pfff feignasse va  Smiley  Smiley
v vrai, j'ai calé au milieu
mais bien écrit, (journaliste?) et c une opinion...
Virgosound wrote :




pfff feignasse va  Smiley  Smiley



Smiley  Quand tu mettra de la ponctuation dans tes pavés, tu pourra traiter les gens de feignasse.
je pense qu'il y a confusion entre réalité et folklore...ce n'est pas parce que j'ecoute du rap que je vais bruler une voiture, ce n'est pas parce que j'ecoute du black que je sacrifie une vierge a à la toussaint, ce n'est pas parce que j'ecoute de la psyché que je me defonce à la goutte et esperant voir la fin du monde....ça a mon avis ça s'appelle des préjugés...il y a des dérives partout ce n'est pas lié au développement de la société par exemple en 1907 les journaux titraient déjà sur les jeunes délinquants que les parents laissaient trainer dans les rues...Ce n'est pas parce qu'on ne comprend pas un phenomene qu'il faut forcement y voir le pire, honnetement j'ai l'impression d'entendre la complainte des parents dont les enfants viennent de decouvrir le rock n' roll...On n'accepte peut etre pas ces evolutions, ces changements, parce qu ça ne fait que nous rappeler qu'au final on se fait vieux... Smiley
ganeshavishnoumachin wrote :



Smiley  Quand tu mettra de la ponctuation dans tes pavés, tu pourra traiter les gens de feignasse.


Merci!!  Smiley  Smiley
Et les passionnés de musette ? Hein ? Est-ce qu'ils se bourrent tous la gueule au vin blanc "Grand Jury" en se déhanchant sur du Yvette Horner ? Hein ?











Bon, en fait, oui, je m'en vais....
Dr Strange, je te sens déprimé, ces temps ci.......

Voudrais tu saper nos esperances?
Pour ma part, j'ai vécu et participé à peu pres à tout ce que tu decris plus haut,
le pire et le meilleur, et à chaque fois, le monde s'en remet parfaitement!
En 70, on me disais que Black Sabbath, Led Zepellin étaient des satanistes, aujourd'hui,
ce sont des grands classiques..............................
Je crois que je n'ai peut-etre pas été assez nuancé dans mes propos ou pas alors assez explicite, parce que vous semblez interpreter mes messages comme autant de dénigrement et de préjugés à l'encontre de cultures musicales.
Pour etre honnête, je ne dénonce que les dérapages et exagerations, voire la dangerosité, de certains courants de certains styles musicaux. Que toutes ces cultures reposent sur du folklore et de l'imaginaire, j'en conviens tout a fait et c'est justement la qu'ils prennent leur statut d'art, car il transfigure la réalité en inventant des univers parallèles. Le problème n'est donc pas qu'ils décrivent un univers propre (qui n'est pas forcement le mien), mais qu'ils aillent trop loin en profondeur dans leur description et se radicalisent. En premier lieu, certains artistes sont finalement les plus impliqués. A force de vivre leur réalité parallèle, ils en adoptent les modes de conduite et s'enferrent dedans. Et a force de cultiver cet univers, ils en arrivent à certaines extrémités que l'on ne peut que décrier. Pour reprendre l'exemple du métal, l'émergence d'un métal extrême ces dernières années qui a absorbé tous les élements du hard rock, mais a poussé le concept d'atavisme guerrier de facon outrancière jusqu'aux confins du satanisme. Suffit de feuilleter l'ouvrage de référence sur cette mouvance écrit par "auto-censure", ein gotterdamerung, disponible en lecture libre à la librairie parallèle aux Halles, pour se rendre compte que l'univers qu'ils véhiculent et dont il s'impregent est très dangereux... Après que les auditeurs y trouvent un moyen d'y défouler leurs colères, soit, mais pour les plus jeunes dont le rattachement à une seule culture musicale est souvent viscerale, cela ne peut que les influencer de facon inconsciente, surout quand l'idolatrie et l'iconât des stars rock s'en mele.
Pour faire un parallèle, le tatouage, piercings et autres branding ou scarifications represente une autre culture émergente. Que le fait d'adopter ce style corresponde à un besoin d'émancipation, d'auto-fétichisme ou de légère provocation, ceci en fait le charme; mais quand il y accumulation, voire auto-masochisme, cela m'interpelle sur l'obstination et le radicalisme de certains, voire la démence ...
De manière générale, je ne dénonce que l'exageration de ces mouvances qui outrepasse les limites que je suis pret à accepter. peut-etre concois-tu que mes limites sont trop réactionnaires, mais il est peut-etre des domaines culturels qui pourraient etre appelés terrains glissants, tout comme ils existe des ouvrages à proscrire ou des idées à rejeter.
D'ailleurs, si j'ai écrit cet article, c'est suite d'un part à la volée de bois vert concernant les free parties, mais surtout à des programmations de concert en France des plus epouvantables ...

En conclusion, je ferais juste remarquer que la qualité musicale n'est pas au rendez-vous, ce qui ma foi me parait l'argument le plus probant...
ganeshavishnoumachin wrote :



Smiley  Quand tu mettra de la ponctuation dans tes pavés, tu pourra traiter les gens de feignasse.



tas dew la chance que jecrive depuis un clavier tcheque toi la parce aue je taurai sortis une ponmctuation de killer bref bon javoue je casse la  Smiley  Smiley  Smiley  Smiley
buddha wrote :
Et les passionnés de musette ? Hein ? Est-ce qu'ils se bourrent tous la gueule au vin blanc "Grand Jury" en se déhanchant sur du Yvette Horner ? Hein ?











Bon, en fait, oui, je m'en vais....




pas aux vin blanc a labsynthe  Smiley  Smiley
C'est vrai qu'il y a du bon j'imagine dans ces mouvements musicaux à la marge qui se veulent représenter des modes de pensées différentes. Il y a du bon, et du moins bon. Toute bonne chose amène des excès bien souvent.


jEr 3o wrote :
je pense qu'il y a confusion entre réalité et folklore...ce n'est pas parce que j'ecoute du rap que je vais bruler une voiture, ce n'est pas parce que j'ecoute du black que je sacrifie une vierge a à la toussaint, ce n'est pas parce que j'ecoute de la psyché que je me defonce à la goutte et esperant voir la fin du monde....ça a mon avis ça s'appelle des préjugés...il y a des dérives partout ce n'est pas lié au développement de la société par exemple en 1907 les journaux titraient déjà sur les jeunes délinquants que les parents laissaient trainer dans les rues...Ce n'est pas parce qu'on ne comprend pas un phenomene qu'il faut forcement y voir le pire, honnetement j'ai l'impression d'entendre la complainte des parents dont les enfants viennent de decouvrir le rock n' roll...On n'accepte peut etre pas ces evolutions, ces changements, parce qu ça ne fait que nous rappeler qu'au final on se fait vieux... Smiley




Buddha wrote :
Et les passionnés de musette ? Hein ? Est-ce qu'ils se bourrent tous la gueule au vin blanc "Grand Jury" en se déhanchant sur du Yvette Horner ? Hein ?


Je crois que vous auriez besoin de relire le message de Dr strange, en aucun cas il ne stéréotype mais a une façon nuancée de dire les choses qu'il veut exprimer. C'est son opinion. Et vous faites exactement ce que vous critiquez vos réponses sont complètement stéréotypés et clichés.
Smiley  vous n'êtes pas crédible quand je vous lis là...  Smiley
dr_strange wrote :
Je crois que je n'ai peut-etre pas été assez nuancé dans mes propos ou pas alors assez explicite, parce que vous semblez interpreter mes messages comme autant de dénigrement et de préjugés à l'encontre de cultures musicales.
Pour etre honnête, je ne dénonce que les dérapages et exagerations, voire la dangerosité, de certains courants de certains styles musicaux. Que toutes ces cultures reposent sur du folklore et de l'imaginaire, j'en conviens tout a fait et c'est justement la qu'ils prennent leur statut d'art, car il transfigure la réalité en inventant des univers parallèles. Le problème n'est donc pas qu'ils décrivent un univers propre (qui n'est pas forcement le mien), mais qu'ils aillent trop loin en profondeur dans leur description et se radicalisent. En premier lieu, certains artistes sont finalement les plus impliqués. A force de vivre leur réalité parallèle, ils en adoptent les modes de conduite et s'enferrent dedans. Et a force de cultiver cet univers, ils en arrivent à certaines extrémités que l'on ne peut que décrier. Pour reprendre l'exemple du métal, l'émergence d'un métal extrême ces dernières années qui a absorbé tous les élements du hard rock, mais a poussé le concept d'atavisme guerrier de facon outrancière jusqu'aux confins du satanisme. Suffit de feuilleter l'ouvrage de référence sur cette mouvance écrit par "auto-censure", ein gotterdamerung, disponible en lecture libre à la librairie parallèle aux Halles, pour se rendre compte que l'univers qu'ils véhiculent et dont il s'impregent est très dangereux... Après que les auditeurs y trouvent un moyen d'y défouler leurs colères, soit, mais pour les plus jeunes dont le rattachement à une seule culture musicale est souvent viscerale, cela ne peut que les influencer de facon inconsciente, surout quand l'idolatrie et l'iconât des stars rock s'en mele.
Pour faire un parallèle, le tatouage, piercings et autres branding ou scarifications represente une autre culture émergente. Que le fait d'adopter ce style corresponde à un besoin d'émancipation, d'auto-fétichisme ou de légère provocation, ceci en fait le charme; mais quand il y accumulation, voire auto-masochisme, cela m'interpelle sur l'obstination et le radicalisme de certains, voire la démence ...
De manière générale, je ne dénonce que l'exageration de ces mouvances qui outrepasse les limites que je suis pret à accepter. peut-etre concois-tu que mes limites sont trop réactionnaires, mais il est peut-etre des domaines culturels qui pourraient etre appelés terrains glissants, tout comme ils existe des ouvrages à proscrire ou des idées à rejeter.
D'ailleurs, si j'ai écrit cet article, c'est suite d'un part à la volée de bois vert concernant les free parties, mais surtout à des programmations de concert en France des plus epouvantables ...

En conclusion, je ferais juste remarquer que la qualité musicale n'est pas au rendez-vous, ce qui ma foi me parait l'argument le plus probant...


Je considère qu'on n'est libre d' avoir ce que l'on veux comme idées, la ou je te rejoins, du moment où nos acts ne portes pas préjudices  aux autres sans qu'ils aient rien demander.

La réalité peut-être aussi un univers parallèle vu qu'elle est relative, l'absence de rêve, d'idéaux serait qqu choses à combattre aussi... Smiley
Manuser wrote :







Je crois que vous auriez besoin de relire le message de Dr strange, en aucun cas il ne stéréotype mais a une façon nuancée de dire les choses qu'il veut exprimer. C'est son opinion. Et vous faites exactement ce que vous critiquez vos réponses sont complètement stéréotypés et clichés.
Smiley  vous n'êtes pas crédible quand je vous lis là...  Smiley



Hum, comment dire.....

C'était une façon d'en rire. J'aurai pas dû.....désolé.
Ah si c'était du second degré ... Smiley je l'avais pas lu comme ça.
Je ne suis pas d'accord entièrement sur Flash qui est pour moi un bon début pour soit se faire peur soit voire plus loin que le bout de son nez

Quant à Anthony, le qualifier de psyché ou autre ne colle pas bien a ce qu'il est.
Je pense qu'Anthony est une resurgence d'un état d'esprit que notre époque moderne ne considère plus comme valable ( culture de la performance oblige ) , la mélancolie et son style musicale s'en ressend , baroque au possible, sur joué à l'extreme ( mais j'adore ).
Tu semble regretter l'émergence de la Dark/Psytrance. Ce mouvement existait déja il ya 10 ans via des artistes comme THE DEVIANT, ORICHALCHUM, XENOMORPH...GOA GIL si y'est toujours intéréssé
et son expansion actuelle n'est pas le fruit du hasard :

-Inquiétant monopole des sons Full-On.
-Une scene prog qui hésite entre la House, la Progessive et le Full-On. Pas de réelle identité musicale.
-Des morçeaux trop souvent noyés par des mélodies qui feraient presque passer TIESTO pour un freak.

Face à ça, l'underground réagit et propose un son sans concéssion qui rencontre un écho certain...Désolé pour le off-topic mais la précision me semble importante.
drakko wrote :
Tu semble regretter l'émergence de la Dark/Psytrance. Ce mouvement existait déja il ya 10 ans via des artistes comme THE DEVIANT, ORICHALCHUM, XENOMORPH...GOA GIL si y'est toujours intéréssé
et son expansion actuelle n'est pas le fruit du hasard :

-Inquiétant monopole des sons Full-On.
-Une scene prog qui hésite entre la House, la Progessive et le Full-On. Pas de réelle identité musicale.-Des morçeaux trop souvent noyés par des mélodies qui feraient presque passer TIESTO pour un freak.

Face à ça, l'underground réagit et propose un son sans concéssion qui rencontre un écho certain...Désolé pour le off-topic mais la précision me semble importante.



autant quand je lis tes critiques albums ou compiles, je trouve ton avis assez interessants .. et somme toute avec une tres bonne culture musicale .. par contre ... autant je te suis sur l'ouverture de la scene prog .... autant a dire qu'il n'y a pas de reelle identité musicale la ca me troue perso, je vois pas ca comme ca sur ces 2 dernieres années .. je vois plutot une scene qui s'enrichit de divers courants, parce que ELLE A UNE REELLE identité, et ai soucieuse de pas tourner en rond, mais tjs se renouveller ...
Miss Tick wrote :



autant quand je lis tes critiques albums ou compiles, je trouve ton avis assez interessants .. et somme toute avec une tres bonne culture musicale .. par contre ... autant je te suis sur l'ouverture de la scene prog .... autant a dire qu'il n'y a pas de reelle identité musicale la ca me troue perso, je vois pas ca comme ca sur ces 2 dernieres années .. je vois plutot une scene qui s'enrichit de divers courants, parce que ELLE A UNE REELLE identité, et ai soucieuse de pas tourner en rond, mais tjs se renouveller ...


T'inquiète, mon avis est forcément subjectif et ne représente que mon opinion personnelle. La scene prog actuelle semble manquer de consistance, c'est un fait.

Des artistes comme VIBRASPHERE (Echo), TICON (Rewind), ETNOSCOPE (Drums from the dawn of time) ou S-RANGE (2001) m'ont fait apprécier la Prog. Maintenant je ne me reconnais pas dans la tendance actuelle : RYAN HALLIFAX, MINILOGUE, SBK...ça me parle pas, c'est pas un problème d'orientation musicale mais davantage une affaire de gout.

Sur la dernière PLASTIK PARK, il n' y' a que le track de NASA - Absolut magnetism que j'apprécie...
Je connais ton taf pour cette scène et ai récemment pu apprécier de voir X-DREAM en live, soirée que tu avait organisée au Batofar. Respect à toi et ton travail!!!!
ahhh ok je cerne mieu ton avis ! je veux pas chercher la petie bete neamoins, et je ne sors nullement les crocs (on tchatche zik + de 2 min52 si c'est possible Smiley) mais bref ...  comment ton avis sur la scene prog qui serait subjectif, deviendrait un fait dans le manque de consistance de cette scene ? Niveaux qualité de prod, richesses artistiques, variétes de style dans un mm courant, tu parlais d'identité musicale .. je connais pas bcp de projet en zooz (plus en psyché on est dac) où direct tu te dis ahh tiens ca c'est un track de un tel ! Alors que dans la prog, bcp de projet ont leur propre tuch, reconnaissable parmi d'autres.

Sinon ok vu la periode que tu cites, et vu l'effet boeuf que ca t'a fait,  je vois pourquoi tu trouves qu'elle a perdu qqchose, je trouve qu'elle a evoluée Smiley encore une fois affaire de gout ! apres je peux comprendre que tous ce qui tire vers la prog house te parle pas, si tu me permets va jeter une oreille du coté du derniere album INsane Creation .... devrait etre ta cup of tea Smiley  .. merci pouir ton feeds et ravie que cette soirée t'es plu !


sorry pour le topic musique extreme ... mais bon on parle de zik finalement le off topic je le vois pas !
quickos wrote :

mais pour ca faut sortir de psyshop  :mickey:


C'est vrai, y'a saikosounds aussi, ne l'oublions pas !!
Miss Tick wrote :


si tu me permets va jeter une oreille du coté du derniere album INsane Creation .... devrait etre ta cup of tea Smiley  



C'est vrai que c'est pas mal du tout. Minimal, tribal, aérien...ça me botte plutôt !!!
Un ptit Smiley à Quickos pour ses paroles pleines de bon sens.

@tbe : Hors-sujet Smiley Et j'ajouterai qu'en prog-house et électro, il y a même plus de choix sur Psyshop que sur Saiko.