elektronfree wrote :
je connais le rex depuis 1991,et depuis qu'ils ont posé leurs multi diffusion c'est absoluement plus la meme,peut etre qu'ils posent des caisson supplementaire pour certaine soirée,mais faut dire que l'amenagement du club ne s'y prete pas,vu sa taille et sa disposition,pardon j'y suis peu etre allez un peu fort,mais de la a dire que c'est le meilleur sound system de france à non.
aucun souci, excuse accepté...
qu'il soit le meilleur ou bien dans les meilleurs sound system de France, la question restera sans réponse, toujours une histoire de gout...
tu es de la cession 1991 et jesper que t'as payé ta teuf pour t 20 ans, moi de 1992 et j'ai connu le Rex de cette époque aussi et j'ai kiffé grave
voici la version officielle du Rex club puisqu'on rentre dans le domaine du précis :
Pour beaucoup d’oiseaux de nuit parisiens le Rex Club est né en 1992.
Le jeudi 21 mai 1992 plus exactement, avec la première des Wake Up de Laurent Garnier dont le projet était précisément de réveiller la nuit parisienne. Les raves avaient déjà perdu de leur fraîcheur. En offrant bonbons, barbe à papa et surtout les meilleurs DJ’s internationaux (Derrick May, Kevin Saunderson, Jeff Mills, Sven Vath, Lil’louis) dont la plupart n’avaient jamais posé leurs doigts sur une platine française, Garnier et l’équipe du Rex ont su faire renaître cet esprit en club et écrire une des plus belles pages de l’histoire des musiques électroniques à Paris. Sans les enfants de Wake Up et du Rex Club la scène française ne serait pas tout à fait la même.
Le Rex Club, lui, avait déjà vécu plus d’une vie avant ce jour. Construit dans les années trente, dans la foulée et les sous sol du Grand Rex, la célèbre salle de Cinéma aux balcons de stuc, le Rex s’appelle alors le Rêve. C’est un dancing, avec jazz, grand orchestre et pupitre, ainsi qu’un restaurant qu’animera brièvement Jean-Marie Rivière après son aventure à l’Alcazar, rue Dauphine. Avec l’expansion du célèbre cinéma voisin, le Rex voit son espace vital rogné. Dans les années 80, le restaurant n’est plus qu’un souvenir. Le club devient l’une des principales salles de concerts de la capitale. Pere Ubu, Kas Product, Noir Desir, Björk, Prince, les Rita Mitsouko ou encore les Red Hot Chilli Peppers, tout l’underground de l’époque déboule rue Poissonnière. Mais les guitares hurlent un peu fort. Les riffs couvrent les dialogues des films projetés en surface. Interdit de concert, son directeur, Christian Paulet cherche un nouveau souffle et multiplie les expériences musicales : Rockab’, rock indé, rock psyché et house music.
Début 1988, deux hurluberlus Anglais débarquent dans son bureau pour prêcher la révolution électronique. Jungle, la première soirée house du Rex et probablement de France voit le jour en mai de la même année. Colin Faver et Colin Holsgrove sont aux platines. Bientôt rejoint par un débutant qui vit encore à Manchester, Laurent Garnier. Certains Fans de rock se convertissent, un nouveau public prend possession de leur club.
Il faudra encore bien d’autres soirées avant que le Rex ne soit rebaptisé affectueusement “la maison” par toute la scène électronique parisienne. Les Unity, aux sonorités electro-hip hop animé par un David Guetta débutant, Space, Temple, Storm, D-Club ou encore les Legends de DJ Deep ou les Rollin de Gilb’r. Toutes ces nuits ont fait du Rex, le premier rendez-vous électronique Français. Un club dont la qualité du son et l’éclectisme de la programmation restent les principales raisons d’être. Il n’y a pas de carré VIP au Rex Club. Mais, de “la bande du bar du fond” à “la famille du bas de l’escalier”, chaque habitué a son petit coin préféré. Un esprit perpétué aujourd’hui par des soirées comme Automatik, the Other way, Massive, Groovement, Wax Groove, Paradise Massage, Watch Out, Bass Culture ou les soirées de Laurent Garnier.
Depuis 1995, le Rex est devenu le premier club de France à se lancer dans une programmation exclusivement électronique. L’espace a été entièrement repensé, la cabine de DJ placé au centre face à la piste et le sound-system est réglé avec amour. Au printemps 2003, l’équipe a fêté ses 15 ans de house avec un festival rester dans toutes les mémoires. Des pionniers de l’acid-house (Mike Pickering, Andrew Weatherall) à la dernière génération d’explorateur du groove (Miss Kittin, Black Strobe) tout le monde était réuni pour souffler les bougies. Mad Mike lui même avait fait le déplacement depuis Detroit emmenant avec lui une partie de l’équipe d’Underground Resistance alors que Carl Cox prenait les platines pour un set spécial réservé aux enfants. Une façon de dire, merci, l’aventure continue.
En septembre 2005, Christian Paulet décide de se consacrer exclusivement à son activité d’agent d’artistes, Tuba Production. Il cède sa place à Fabrice Gadeau, initiateur des mythiques soirées D-Mension et Automatik, activiste forcené de la musique techno.
Pour la saison 2006-2007, le Rex s’est doté d’un soundsystem D and B unique en son genre, basé sur la multi-diffusion du son : plus de 70 enceintes réparties dans le club pour une qualité d’écoute et une efficacité dans l’ensemble du club. Du 14 au 31 mai 2008, le Rex à célébré son 20ème anniversaire. Un événement d’une grande envergure puisque tous les styles de musique électronique étaient représentés sur 14 soirées inoubliables. Encensé par les médias et des clubbeurs plus que présents, ce 20ème anniversaire du Rex Club a fortement marqué les esprits avec des artistes tels, Laurent Garnier, Jeff Mills, Rhythm & Sound, Moritz von Oswald, Green Velvet, Miss Kittin & The Hacker, Birdy Nam Nam, Roni Size, Boys Noise, Larry Heard, Daniel Bell et bien d’autres…
Le Rex reste à ce jour le leader en musique électronique par sa programmation à la fois pointue et de qualité. Déjà 21 ans et le REX n’est pas prêt de s’en arrêter là !
après on peut y croire ou pas ou encore venir juger par soi même le 08/02/2012 pour écouter ce que donne ce fameux sound system unique au monde avec ses 70 points de controle et des caissons de basse qui sont là à toutes les soirées de 23h30 à 6h00, 100% garantis...