quel définition donner à ce mot?
L'origine de ce mot n'est meme pas clair...
Etymologiquement, une drogue est un produit doué de
propriétés médicamenteuses, employé à l’état brut, tel qu’il
existe dans la nature ou après des opérations matérielles qui
n’exigent aucune connaissance pharmaceutique.Depuis la
fin du XIXème siècle le
terme drogue caractérise
toute substance naturelle ou synthétique capable de
provoquer des effets psychotropes et engendrant une
dépendance.dés lors,
Aucun produit
n’est innocent,
dès qu’il devient
le pivot de notre vie
(source: http://www.als.uhp-nancy.fr/conferences/Dossiers/Drogues(Lux)/02-Drogue.pdf )A partir de cette définition, je pense que l'on peut enfin dire que ce mot"drogue" ne peut être employé que si il y a dépendance de cette substance... là faut il encore définir le mot dépendance, surement tres lié au mot"Toxicomanie" qui est définie dans la source plus haut comme" un désir violent ou un besoin de continuer à consommer de la drogue et à se la procurer par tous les moyens, associé à une tendance à augmenter les doses".
Soit, le mot drogue peut etre utilisé suivant deux facteurs:
-Fréquence des prises,
-et etat d'esprit lors de ces prises.
on pourrait alors en conclure qu'une prise passagère de drogue en toute conscience n'est pas gênante...
Sans parler de la censure qui règne dans nos sociétés dîtes"intellectuelles", et de cette certaine lobotomisation de bien et du pas bien dicté par nos société/religion et des générations rebelles qui cherchent a défier leurs parents... la prise d'une drogue est toujours un pas vers l'inconnu....
le probleme est que peu de personne lors d'une premiere prise est"bien"accompagné et correctement informé.informé... non pas dans le sens"attention, tu peux en devenir accroc, il existe des risques....." mais,
informé de l'origine de la substance en question, et de ces caracteristiques réelles...
Le problème, encore un autre^^, est que
peu de ces substances ne sont suffisemment étudié pour cela.
Pourtant, tout comme le veut la définition étymologique,"une drogue est un produit doué de propriétés médicamenteuses"... donc trouvé à l'origine par, ou pour, des"médecins", dont j'inclurai "shamans, sorciers et autres ", qui utilisaient donc ces substances pour des raisons médicales, ou spirituelles, en connaissant ainsi quelques caracteristique de ces produits, mais surtout, en connaissant l'état d'esprit de leur"patient" ou d'eux meme... et cela avec beaucoup de précautions!
Certains font aujourd'hui une consommation sans information de ces substances dites"drogue".
Parfois pour aller vers la surconsommation.... liée a la dépendance. Là est, je pense, le véritable probleme.Consommateurs.... à quel degré... je n'arrive pas a comprendre ceux qui se"dèchirent"à un point de ne plus rester debout.. bien que je me souvient étant jeune^^me saouler la gueule sans raison, jusqu'à ne plus avoir soif... mais... j'etais jeune
j'aimerai bien comprendre pourquoi certain persistent, se droguant pour la défonce... je ne pense pas qu'il y ai un veritable plaisir?? ...pour moi, ici, l'on peut parler de Drogue. la consommation de ces drogues perdureront dans le but de tenter de trouver une certaine comprehension de soi. Souvent mal compris, ou mal dirigée, cette conso peut donc virer à la surconso...
d'où le lien avec la psychiatrie.... combien de psychothérapeutes se sont penché sur ces substances? la plupart!
non pas pour mieux comprendre ces produits pour mieux soigner les consommateurs, mais surtout pour tenter, via la consommation de ces produits, de comprendre l'homme.
( quelques bases de la psychiatrie:
http://psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/infirmier/therapie/adulte.htm#Jung )
c'est donc dans la comprehension de l'homme que doit travailler les sociétés/organisations pour enrayer les "sur"consommations de drogues?
Le psychiatre Stanislav Grof, lui, l'exprime bien sur cette interview que je vous conseil :
http://fylb.free.fr/synodies/synodies_3/interview_s_grof.pdfBonne lecture.
le lien de tout ça avec le sujet de ce topic??
Avant de vouloir faire des teufs sans drogues, il faudrait dejà pouvoir instaurer une certaine information, précaution, avec un accompagnement et ... une connaissance de la respiration holotropique
soit, prendre le probleme en amont et non en aval!