fabrice rackam wrote :
Il y a deux types de fêtes Trance actuellement, voir 3 avec les privates
Les "undergrounds" comme la Shiva, (respect à cet esprit, notre culture vient de là!) ou le confort n'est pas la première chose qui prime, mais plutôt l'esprit de liberté! La salle, plutôt un site détourné de son usage premier, une organisation qui repose sur le bénévolat, ce qui donne un esprit bon enfant et spontané.
Et les 'Overgrounds" comme la Gaia par ex, entrepreneur à ses heures, soucieux de la législation du spectacle et des lois en vigueurs concernant l'accueil du public...trop commercial certains diront, mais le problème n'est pas là !
Mais n'oublions pas le principal, WE ARE ONE, même si chacun à un chemin différent pour atteindre un seul but : la Traiiince
Avec de tels racourcis, j'en viens à la conclusion que les plus actifs et les plus pro sont underground: Hadra et Electrohm...
Une Gaia reste signe d'organisation pro au sens premier du terme: une entreprise commerciale qui emploi du personnel, des prestataires... Quand au soucis de confort il m'apparait plutôt relatif à la norme de sécurité 2 à 3 personne au m2 qu'a la définition de confortable...
Ce qui est cool c'est que cela continu de plaire... 15 ans après!
Le respect des règles de sécurité n'est en aucun cas fonction de qui organise !! Si ce n'est les simplifier pour certains professionnels
via la licence d'entrepreneur de spectacle...
Qques soit l'évènement chaque tribe a sa marque de fabrique et ses déboires... au Boom j'ai connu mon plus bel orgasme sonore et la pire sono de festival! Mais le Boom reste le Boom dans les 2 cas: un public international attiré par l'image qu'il véhicule...
Comme pour le vin on apprécie chaque producteur en y goutant soit même. L'image que l'on s'en fait avant la dégustation, l'ambiance du moment et la sympathie vis a vis du producteur participe pour plus que l'on ne l'imagine au sentiment éprouvé.
Tout comme la douleur, nos émotions et leur perceptions sont une faculté qui s'apprend et se module, pour peu qu'on y travail... sans pour autant devenir acteur au sens 1er, être acteur dans ses ressentis.
Commercial vs non profitLe terme commercial désigne ce qui a pour objectif de générer un bénéfice, par opposition l'association a but non lucratif ou c'est interdit.
Gaia est une entreprise et Shiva une association me semble t'il. Un simple cadre législatif et fiscale... autant dire que les plus requins ou mesquins tapent dans les 2. L'association est le statut de prédilection pour magouilles. Il est infiniment moins sujet à contrôle. Détourner légalement ou non de gros montant y est assez simple et peu risqué. En restauration c'est courant de faire 20% de black...
Qques astuces répandues:.Avoir une association qui est responsable de l'évènement et paie des prestataires
( asso, entrepreneur, société... ). Le flux d'argent traçable est repartie dans les poches des potes et ont reste a 0 bénef qque soit le chiffre d'affaire.
.Tricher sur les déclarations des flux en liquide, sur la fréquentation... Le liquide généré au bar équivaux de 1 a 4 fois celui des entrées... lorque l'on vous annonce j'ai besoin de x entrées pour rentabiliser c'est bien souvent sans tenir compte des benef certains du bar
.Investir les bénéf dans du matériel. Une fois l'asso dissoute ca disparait...
.Gonfler les frais et facture
...
Consommateur vs consomm'acteurC'est comme pour toute choses on peux se limiter à consommer en bon épicurien autocentrer ou chercher à le faire de façon 'engagé'. En privilégiant ce qui véhicule vos valeurs
(acheter bio, local, équitable... eviter mac do, la viande... ) En grattant l'étiquette, le facteur marketing et petit malin apparait en dessous. C'est un travail c'est clair mais ne serait ce pas celui d'une liberté, celle de façonner sa conscience et d'agir en même temps sur la société.
Le plus grand pouvoir aujourd'hui est l'acte d'achat.
Achetes engagé, finances ta liberté