Trouvé dans Libé (en espérant qu'on ait le droit de faire ça MM. les modérateurs....)
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La Techno Parade a fait le plein
Aucun incident à déplorer, et des teufeurs requinqués.
Par Arnaud AUBRON - Libération - lundi 15 septembre 2003
«A nos fêtes annulées, à nos amis disparus, à nos lieux qui ferment, à notre utopie techno...» Inscrite en lettres roses sur un corbillard placé en tête du cortège de la Techno Parade, l'oraison funèbre se voulait le reflet de l'inquiétude des organisateurs, l'association Technopol, quant à la «paranoïa» entourant les musiques électroniques. A quelques mètres de là, pourtant, les politiques présents se veulent rassurants. Le ministre de la Culture Jean-Jacques Aillagon, Jack Lang, Bertrand Delanoë ou Jean-Paul Huchon, président de la région Ile-de-France, étaient venus porter un message d'apaisement. Message pour le moins bref, puisque les intéressés avaient disparu à peine vingt minutes après le début de la marche.
Tous âges. Les péripéties du carré de tête n'ont pas empêché une participation massive pour cette cinquième édition de la Parade, alors que les précédents rendez-vous avaient pu laisser un sentiment de déclin inéluctable. Samedi après-midi, de Denfert-Rochereau à la place de la Bastille, ils étaient entre 100 000 (selon la police) et 300 000 (selon Technopol, qui a toujours eu la main question estimation) personnes de tous âges, sans doute davantage venues profiter du beau temps et de la house (tendance majoritaire) crachée à haut débit par la vingtaine de chars présents que pour porter les revendications du mouvement. Quoi qu'il en soit, l'opération fut, en l'absence d'incidents majeurs, un «succès total» pour Technopol. Reste à savoir si ce succès permettra aux teufeurs de mieux se faire entendre à l'avenir .
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La Techno Parade a fait le plein
Aucun incident à déplorer, et des teufeurs requinqués.
Par Arnaud AUBRON - Libération - lundi 15 septembre 2003
«A nos fêtes annulées, à nos amis disparus, à nos lieux qui ferment, à notre utopie techno...» Inscrite en lettres roses sur un corbillard placé en tête du cortège de la Techno Parade, l'oraison funèbre se voulait le reflet de l'inquiétude des organisateurs, l'association Technopol, quant à la «paranoïa» entourant les musiques électroniques. A quelques mètres de là, pourtant, les politiques présents se veulent rassurants. Le ministre de la Culture Jean-Jacques Aillagon, Jack Lang, Bertrand Delanoë ou Jean-Paul Huchon, président de la région Ile-de-France, étaient venus porter un message d'apaisement. Message pour le moins bref, puisque les intéressés avaient disparu à peine vingt minutes après le début de la marche.
Tous âges. Les péripéties du carré de tête n'ont pas empêché une participation massive pour cette cinquième édition de la Parade, alors que les précédents rendez-vous avaient pu laisser un sentiment de déclin inéluctable. Samedi après-midi, de Denfert-Rochereau à la place de la Bastille, ils étaient entre 100 000 (selon la police) et 300 000 (selon Technopol, qui a toujours eu la main question estimation) personnes de tous âges, sans doute davantage venues profiter du beau temps et de la house (tendance majoritaire) crachée à haut débit par la vingtaine de chars présents que pour porter les revendications du mouvement. Quoi qu'il en soit, l'opération fut, en l'absence d'incidents majeurs, un «succès total» pour Technopol. Reste à savoir si ce succès permettra aux teufeurs de mieux se faire entendre à l'avenir .
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