Après 3 jours et 2 nuits où il ne c’était strictement rien passé (plage, transat sieste, apéro, plage, transat , apéro repas, apéro dodo), nous débarquions à Samothrace avec la ferme intension de déchaîner sur le dance floor nos corps tout brûlés par le soleil
. La traversée en ferry nous avez conforté dans l’idée que cela serait une véritable tuerie ce festoche. Imaginez 300 teufeurs sur un bateau pour 5 heures de traversée, ils en ont eu de la patience les matelots, car certains petits gourmands n’avaient pas pu résisté et c’était enfilé une partie de leurs bonbons.
A l’ouverture des portes pour le débarquement nous nous sentions un peux comme les soldats en Normandie, une grande excitation car nous allions écrire une page de l’histoire de cette île et une terrible peur de ce retrouver face à l’ennemi (le flic) sans pouvoir rien faire, bye bye fini la fiesta. Mais à la place des fusils nous avions des pétards et notre débarquement ressembla plus à la grande parade du Cirque Barnum. Cette joyeuse tornade coloré ce dirigea vers les 2 bus à destination du camping qui allez nous servir de terrain de jeux pour les 7 prochain jours.
Après avoir tourné en rond 1heure dans le noir et attendu 2h00 pour entrée dans le camping, nous établissons notre campement dans un endroit isolé sous de grands arbres à coté des baraques à frites, très bon emplacement pour pouvoir ce restaurer à tout moment et observer les va et vient des promeneurs nocturnes. Il était environs 1h00 du mat et nous nous adonnions à la spécialité local l’Ouzo, après avoir vidé 3 bouteilles nous nous mettons en quête de produits plus familier direction le village des shops de l’autre coté du camping. Nous fumes amuser de voir qu’ici la randonnée ce pratiquait en masse le soir. Mais cruelle déception le village était tout petit et il ne comptait qu’une petite poignée de boutiques. Après avoir croisé quels que têtes familières croisé dans d’autre festival, nous rentrons bredouille au campement, les Israélien n’étaient pas encore arrivé, demain serait un meilleur jour l’ouverture officiel du festoche.
C’est la chaleur qui nous tira hors de nos songes et la nous fumes surpris de voir que durant notre sommeil une dizaine de voisins c’étaient installés devant nos tentes dormant à même le sol. Nous n’étions plus seul, vive la promiscuité. Après un passage à la supérette (une pièce de 5x10) du camping pour acheter de quoi déjeuner nous faisons connaissance de nos voisins de jeunes étudiants grecques venu travail au stand en face du campement. Nous sympathisons et nous voilà affublé du surnom de Malaka. Après un bon bain nous reprenons notre exploration du site, vraiment très bien la quasi totalité du camping était sous les arbres et de nombreux invités c’étaient installés dans les jardins de nos campeurs avertis. Un petit arrêt au chillout nous permet de juger de notre notoriété grandissante puisque tout le monde nous connaissait déjà et nous appeler par notre surnom Malaka. Un instant de panique c’est emparé de nous lorsque nous voyons que les décors sont encore en pleine fabrication, Seront-ils prêt pour ce soir ??? En attendant nous profitons de l’ambiance détendu du lieu pour faire une sieste sur les matelas disponibles. Un instant de pure bonheur car de nombreuses naïades ce balançaient nonchalamment sur les mini hamacs tout autour de nous. Après un second passage fructueux au village nous faisons connaisse d’un groupe de Toulousains qui tenaient un shop et du fameux Toto croisé au Sunrite. La quête avait été bonne mais nous avait bien soulagé de nos euros car les prix pratiqués étaient hallucinant, mais bon nous avions maintenant de quoi tenir toute la durée du séjour. C’est d’un pas léger et sur un aire triomphal que nous regagnons notre petit chez nous qui c’était encore réduit car le flot des arrivants ne ce tarissait jamais.
La nuit tombait mon ami médecin nous administra nos médicaments pour cette première nuit de folie, mais une foi sur le dance floor cruelle déception, il y avait encore les camions dont on sortait le son et pas l’ombre d’un Dj sur la scène. Nous pestions sur l’organisation depuis un bon moment lorsque un Français nous aborde et nous inflige c’est parole cruelles : « putain les gas demain sa va être le feu vu ce qu’ils sont entraient installer, on va en prendre plein la gueule ». Demain ???? et oui dans notre impatience de fêter comme il se doit cette fin d’été nous étions arrivé 1 jour trop tôt. Nous n’étions vraiment que des Malaka (abruti). Finalement d’un campement c’est élevé un bon son trance et tout ceux qui comme nous avez déjà entamé la fiesta ce sont regroupé jusqu’au petit matin.
Le lendemain soir nous ne sommes pas allé sur le dance floor car nous nous étions enfin procuré la play list disponible à l’entrée et constaté que les choses sérieuse ne commencés que le lendemain soir. Nous profitâmes donc de l’obscurité pour pratiquer notre sport favori de ces quels que jours, la randonnée nocturne à la recherche d’un wc praticable. A ce moment le camping était devenu surpeuplé et de partout des rires et des sourires sur les visages. La pauvre épicerie était pleine à craquer et la caissière totalement dépassé par cette horde de teufeurs qui passaient des heures à choisir ce qu’ils allaient bien pouvoir prendre en ce demandant le pourquoi initial de leur visite.
Enfin la premier soirée trance est arrivée ce fut une véritable explosion de joie au petit jours nous constations la présence à foison de superbes créatures au sourires ensorceleur. Les lives de thalamasca et man with non name furent merveilleux. 16h00 sonna la fin de cette entrée en matière qui nous cloua au camp jusqu’au lendemain matin, je doit avouer qu’à partir de ce moment les jour passérent comme un éclaire car nous avions pris l’habitude de festoyer à partir du levé du soleil jusqu’à la coupure en fin d’après midi. Mais quel bonheur de retrouver chaque matin cette masse sautillante au sourires complices et ces merveilleuses sirènes qui pulluler en ce lieu magique.Dino psaras , Avi Algranati, Prometheus, Alien project, Son kite, Bamboo Forest, Saikopod et Atmos nous on régalé de leur son, vraiment du pure bonheur. C’était comme en Espagne mais avec un son à la hauteur des bonne vibrations qui émanaient de chaque un des participants.
Pour nous la dernière matinée vu l’objet d’un atterrissage brutal dans le monde cruel qui est le notre, réveillé par une horde sauvage de flics mettant à mal nos tentes et affaires nous plaquant au sol sans un mot ni même un regard compatissant pour les deux pauvre scotchés hébétés que nous étions, le sol c’est ouvert sous nos pied quant ils ont embarqué mon ami pour 0,2 gr. Me laissant seul assis sur le tapis devant nos sac éventrés je regardé mon frére de fête partir à toute allure dans le 4x4 flambant neuf des coboys grecque. Il fut transféré dans la matinée à Alexandropolis pour être interrogé et emprisonné. Seul j’étais et demeuré car pour les gens qui font la fête rien d’autre n’a d’importance et la belle solidarité entre teufeurs n’était plus qu’un mythe. C’est à ce moment que je me rendit compte également que depuis quels que jour nous n’avions plus revue certaines personnes, un nombre important de tentes restaient seul, ou étaient ils passaient ? dans les mains des autorités. Après avoir repris mes esprits je me renseignais auprès des organisateurs pour savoir que faire pour récupérer mon camarade, car pour moi l’idée de le savoir en prison était insupportable, il fallait le libérer au plus tôt. On me conseilla de rester au camping la journée car de toute manière il ne pourrait être libérer que le lendemain après avoir comparu devant le tribunal. Je passait donc l’après midi à ranger nos affaires pour prendre le premier ferry du matin. Et cette matinée fut la plus triste de ma vie, la pluie c’était mise de la parti et j’étais sur le départ, nous étions venu à deux et me voilà seul. Dans le ferry une ambiance de veille aux mort régné entre les regrets et inquiétudes des gens qui allaient recherché leur amis disparus et les chanceux épuisé après ces 7 jours de fête, fini les rires fini les larges sourires, fatigue et angoisse étaient nos muses.
C’est lorsque j’arrivais devant le tribunal que je retrouvais enfin l’humanité et de solidarité des tranceux car il y avait là tout les compagnons de nos malheureux amis emprisonnés, et ce malheur collectif nous rapprochait. Je ne pourrais pas décrire le bonheur qui nous envahi mon ami et moi quant encadré par une troupe de flics nous pûmes enfin nous revoir et échangé quels que mots. Après une attente de plusieurs heures il ressorti libre car nous avions réussi à réunir le montant de son amande, fin du cauchemar. Nous avons pris le premier train pour nous éloigner au plus vite de cette vile de malheur nous jurant avec tout les autres présent que de nous revoir l’année prochaine au BooM et que Samotraky c’était Fini.
PS: Big bises aux Reinais et Antoine croisé sur les marches du tribunal en espérant qu'ils aient pu attraper leur vol à temps.
Bises à vous aussi o-liv-r et akhoa ainsi que psychopat je vous mail les photos dés que possible.