djzarro wrote :
mais ton petit booba il a fait comment pour aller en université au us
tu crois que son père vendait du shit pour lui payé des études a l'époque il vivait a cannes chez sa mère trop dur pfffffff
Juste pour info, il y'a jamais eu d'université aux US. Un séjour de quelques mois à Détroit à l'âge de 14 ans (je crois, à vérifier), dans le cadre d'un échange scolaire. Un BEP et terminus l'école. Séparation des parents, un temps à Cannes (pas au Martinez) avec sa mêre et son frère, retour au Pont de Sèvres, foyer pour mineurs, les débuts de Time Bomb, Lunatic puis 18 mois à Nanterre. Où ça ? A la fac de Nanterre ? Non 18 mois à la maison d'arrèt.
Si tu t'étais renseigné davantage, tu saurais également comment à été financé le label 45 Scientific... Bref.
djzarro wrote :
on te parle du rap français, moi je suis aucunement fan du rap us
tu sais quoi laisse tomber prône cette merde si ça te plait et historiquement en france le rap et le punk on beaucoup plus de rapport que le trip bling-bling qui nous a été instauré comme tout par les us
Haha tu y tiens ! Bah ouais, mais c'est faux.
Pour résumer, le 1er skeud de Rap en France c'est Dee Nasty "Paname City Rappin" en 1984. Comme beaucoup il a découvert cette musique avec Sugarhill Gang, Grandmaster Flash... Dee Nasty c'est également l'affiliation avec la Zulu Nation, Afrika Bambaataa qui marque l'apparition de la culture Hip Hop en France.
Breakdance, graff, rap... C'est drôle je savais pas que les punks faisaient du smurf ! Et Joey Ramone il allait éclater des trains avec son FatCap ?
Jamais compris les gens qui cherchent absolumment un dénominateur commun entre des musiques qui n'on en aucun.
djzarro wrote :
et franchement je vais en rester la car j'ai l'impression d’être sur le site de skyrock a proner qui a le droit de faire du rap par rapport a son vécu
moi je l'est écoute pour leurs textes et pas pour une vie qu'ils s'inventent
C'est parceque tu fais trop attention au fond, alors que le Rap privilégie la forme. A la limite peu importe ce les gars racontent, c'est la manière qui compte. Nas n'a jamais vendu de crack, pourtant "Illmatic" est considéré comme l'album qui dépeint le mieux la réalité des blocks. Flow, storytelling, attitude... L'essence de cette musique.