1) une fédération du « milieu » trance (qui aurait été le but initial de TC),
2) et une vitrine de la Trance française et de son esprit (ce qui serait recherché avec l'événement Effervetrance).
Ces deux idées qui sont ressorties de la réunion pourraient, effectivement, amener les différents acteurs de la trance dans une action « enrichissante » et il me semble donc qu'elles devraient entrer dans l'objet de l'association.
Par son
rôle fédérateur, l'association pourrait être chargée :
- d'aider les collectifs à se faire connaître, par exemple, par l'aide à l'organisation de soirées, l'aide à la production pour les artistes (?).
Sans forcément être financière, cette aide serait passerait par l'accompagnement dans les démarches administratives, voire un soutien en cas de problème avec la police/justice (ce qui rejoint l’idée de CIO lancée par Miss Tick).
Pourquoi pas aussi organiser un « parrainage » des teufs des différentes orgas membres, si elles en font la demande, pour que ces orgas agissent sous le sceaux de l'association (auprès de la préfecture, de la mairie ou du propriétaire des lieux), ce qui permettrait peut-être l'accès à des lieux dans lesquels des teufs « parrainées » auraient permis d'entretenir des bons rapports avec les propriétaires et le commissariat d’à coté (utopique pour ce dernier ??)…
Ce qui implique aussi la recherche et le référencement de lieux (cf. le guide proposé par Rouletabille),
- d'aider les artistes : le réseau constitué par l'association permettrait de nombreuses rencontres avec des résultats artistiques inévitables, il faudrait donc aussi pouvoir orienter les musiciens dans les questions juridiques de la musique et de la production (Sacem, contrats...),
- de réunir les performeurs, visuels et différents acteurs et artisans voulant s'impliquer dans des teufs (cf. encore le guide proposé par Rouletabille).
Par son
rôle de « vitrine », l'association aurait un rôle à jouer :
- en faisant la promotion de la musique trance en France : lui faire gagner une meilleure image auprès des médias, des élus, des administrations (le hardcore, lui, est maintenant exposé au Palais de Tokyo au Trocadéro… (bon, ce n’est pas un but en soi !)).
Comme Rackam, je crois aussi que la notion de « défense de la musique électronique » (ou trance en l’occurrence ?) est importante… Elle doit être affirmée au nom d’une liberté fondamentale de notre Constitution : la liberté d’expression (artistique).
- en aidant les productions françaises à se développer à l'étranger,
- et en allant vers les teufeurs : je ne sais plus si on a parlé ou non d'un périodique. Avant, il y avait Trancegoavibes ?, Un site internet et définir son contenu (par rapport à l’objet bien-sûr), le site c'est la vitrine de la vitrine !
Prévoir si on parle des drogues et comment (prévention ? information ?... autoproduction ???).
- en faisant valoir l'esprit « trance » (plur ?) par la promotion de cette fédération (dans les teufs, vers les médias),… Ici je trouve que l’idée de mêler la trance à d’autres styles musicaux (Las22) est excellente pour nous montrer plus et comme ça, à force, les autorités et propriétaires seront moins frileux.
Le problème c'est qu'une association avec un objet aussi vaste c'est qu'elle implique que de nombreux acteurs se motivent et en tous cas soient adhérents. Ca fait donc du monde à gérer pour bien faire fonctionner l'association.
Je serai plus rapide sur ce point dans les pages « Fonctionnement associatif ».