Je pense pas qu'il y est de recette précise pour créer...
C'est dans la nature de chacun, soit tu gères bien tes ambitions et tu te prends en main, soit t un glandeur/reveur a tendance (je ne fais pas ce que je dis).
parmi les gens qui font la gueule tous les matins dans le RER, beaucoup auraient surement aimé faire autre chose vivre de sa passion c carrément un truc exceptionnel en attendant d'y arriver tu peux toujours essayer d' éviter les 9h de tafs : bosser à mi-temps, les squats d'artistes, les assedics, filer des cours de zik, le rmi + faire des stands ...
faut souffrir pour être belle
cela dit c'est vrai qu'en principe il y a des aides à la création ou a la formation (mais à apparemment le ministère de la culture n'écoute pas de transe)
quand tu bosses sur quelque chose , quoi que ce soit, art ou boulot, faut y mettre de l'energie et du temps... quand t'as fais ta journee de 9h ( 9h de taf, pas 9h a rester assis ds une salle de cours a ecouter un prof parler et prendre des notes) j vois pas trop quelle energie tu peux mettre dans ta zik etant donne que t'as quasiment tout lache pendant ta journee de boulot ...j'm'excuse , ce n'est que mon pt de vue de branleur , j ai surement rate ma vocation... tu me diras si tu connais des peintres qui font leurs vernissages entre leurs heures de bureaux...
peut etre que si c'est ta passion tu arrives malgré tout à trouver les ressources nécessaires pour créer, te faire plaisir, ne serait-ce juste qques heures...
jim wrote : parmi les gens qui font la gueule tous les matins dans le RER, beaucoup auraient surement aimé faire autre chose vivre de sa passion c carrément un truc exceptionnel en attendant d'y arriver tu peux toujours essayer d' éviter les 9h de tafs : bosser à mi-temps, les squats d'artistes, les assedics, filer des cours de zik, le rmi + faire des stands ...
cela dit c'est vrai qu'en principe il y a des aides à la création ou a la formation (mais à apparemment le ministère de la culture n'écoute pas de transe)
Bonjour ! Moi je pense que si tout le monde s'occupait un peu plus de soi au lieu de jalouser et de se permettre de juger le train de vie du voisin , le monde tournerait certainement un peu plus rond. Bonne journée à tout le forum .
Antsha wrote : Bon, c'est bien beau tout ça, mais il faudrait savoir comment la police chope les "téléchargeurs" : ils observent les connexions sur le port TCP 4662 et uniquement celui-là car 99 % des internautes téléchargent sur ce port ==> donc, il faut changer le n° de ce port, et les flics ne viendront pas vous emmerder.
Deux mois avec sursis pour 200 CD gravés Le tribunal de Blois n'a pas reconnu aux deux accusés le droit à la «copie privée». Par Florent LATRIVE - jeudi 09 décembre 2004 (Liberation - 06:00)
Il était deux trentenaires, ils se refilaient des CD gravés avec des films et quelques logiciels. Et ils ont pris deux mois de prison avec sursis et 20 000 euros de dommages et intérêts pour les quelque 200 galettes trouvées chez eux, peine infligée mardi par le tribunal de grande instance de Blois. Une condamnation qui montre les risques encourus par les adeptes de l'échange numérique, même hors de toute activité lucrative.
Si cette décision ne concerne pas l'usage des systèmes d'échanges peer-to-peer de musique ou de films comme Kazaa, elle donne quelques pistes sur les contours de la «copie privée», le droit reconnu à tout un chacun de copier des oeuvres pour son usage personnel. Cette exception légale au droit d'auteur permet de graver un CD emprunté dans une médiathèque ou d'enregistrer un film à la télé. C'est au nom de la copie privée qu'un internaute de Rodez a été relaxé en octobre dernier malgré ses 488 films gravés.
Rien de tel à Blois, notamment parce que «l'échange des exemplaires physiques avait été établi», estime Christian Soulié, avocat du Syndicat de l'édition vidéo, partie civile avec plusieurs producteurs de ciné et Microsoft. Selon la loi, la copie privée doit être réservée à «l'usage privé du copiste». Pour les ayants droit, refiler un disque gravé à un pote ne serait donc pas de «l'usage privé» ; et tant pis si des milliers de gens ont l'habitude de procéder ainsi depuis des années. Dans le cas de Blois, les deux condamnés ont aussi perdu car, en matière de logiciels, la copie privée n'existe pas.
Engagée dans la défense des internautes confrontés aux poursuites des majors du disque et du cinéma, l'Association des audionautes a dénoncé hier «la stratégie abusive des industries culturelles qui préfèrent la criminalisation et le conflit plutôt que le débat public».
Rien de tel à Blois, notamment parce que «l'échange des exemplaires physiques avait été établi», estime Christian Soulié, avocat du Syndicat de l'édition vidéo, partie civile avec plusieurs producteurs de ciné et Microsoft. Selon la loi, la copie privée doit être réservée à «l'usage privé du copiste». Pour les ayants droit, refiler un disque gravé à un pote ne serait donc pas de «l'usage privé» ; et tant pis si des milliers de gens ont l'habitude de procéder ainsi depuis des années. Dans le cas de Blois, les deux condamnés ont aussi perdu car, en matière de logiciels, la copie privée n'existe pas.
Eh merde ! Depuis le temps qu'ils (l'industrie du disque et cie) rêvent de mettre fin à la copie privée, ils vont y arriver. :fou:
en ce qui concerne les grosses majors ou les multi nationales concernées,en effet,ça n'est pas ce qui va les inquiétés,z'ont toujours une parade pour récupérer leur blé...
Cela dit,chers amoureux de la trance,si vous souhaitez qu'elle dure,va falloir aussi,être un peu plus lucide quand à la zik que vous télécharger... quand tu te mets en quête d'un label,avec tes originaux,et qu'on te dit,non ça va pas le faire....et quelques jours + tard tu le retrouve en ligne sur un trader....t'as légérement les boules d'avoir bosser,pour au final te faire piquer ta zik pour la difuser dans le monde entier....il est même arrivé que des rmx ou fusion de deux tracks d'artistes différents se retrouvent en ligne sans bien sûr aucune autorisation des artistes concernés,sachant que payer un avocat serait très honéreux,ils en profitent et les téléchargeurs aussi sans forcément le savoir. Evidemment difficile de faire la part des choses(unrealease autorisées ou non?),mais sachez que beaucoup de labels désireux de vous donner de l'originalité et promotionner des artistes afin que tout le monde puissent en vivre meurt,mette la clef sous la portes,ou à peine commencer,arrêtent là les frais...posez vous la question....le milieu de la trance et sans aucn doute un des pires pièges à cons.Il y a des artistes qui crèvent de faim en attendant,et qui n'ont pas de koi prendre le metro...
moi perso,ch'ui trop idéaliste,je le sais,et j'espère ne pas être la seule,mais hélas non moins consciente du danger de la survie de ce qui fait bouger nos culs en teufs!!!! a savoir la ZIK!!
[citation]en ce qui concerne les grosses majors ou les multi nationales concernées,en effet,ça n'est pas ce qui va les inquiétés,z'ont toujours une parade pour récupérer leur blé...[/citation]
C'est déja fait....Sony est une Major qui vend du disque et des...CDR ! (double bénéfice sans compter les autres taxes !). Ce sont eux, d'ailleurs, qui pleurnichent le plus sur le piratage......... :fou:
Quand au reste, c'est, malheureusement, surtout un piège à cons en France... dans les pays ou la trance à un poids économique plus lourd, les compositeurs sont, heureusement, autrement traités. Perso, chaque disque acheté est un acte de soutien, d'encouragement.. J'aurai honte de pirater Juno Reactor (c'est une fierté d'acheter et de soutenir un tel projet !) ainsi que des "nouveaux venus". Mais c'est parfois bien difficile de savoir si tel morceau est légal ou pas.
Sinon mieux vaut être idéaliste que cynique et ratée...
Deepwater wrote : [citation]en ce qui concerne les grosses majors ou les multi nationales concernées,en effet,ça n'est pas ce qui va les inquiétés,z'ont toujours une parade pour récupérer leur blé...[/citation]
C'est déja fait....Sony est une Major qui vend du disque et des...CDR ! (double bénéfice sans compter les autres taxes !). Ce sont eux, d'ailleurs, qui pleurnichent le plus sur le piratage......... :fou:
Quand au reste, c'est, malheureusement, surtout un piège à cons en France... dans les pays ou la trance à un poids économique plus lourd, les compositeurs sont, heureusement, autrement traités. Perso, chaque disque acheté est un acte de soutien, d'encouragement.. J'aurai honte de pirater Juno Reactor (c'est une fierté d'acheter et de soutenir un tel projet !) ainsi que des "nouveaux venus". Mais c'est parfois bien difficile de savoir si tel morceau est légal ou pas.
Sinon mieux vaut être idéaliste que cynique et ratée...
alors moi, jme sens méga-spoilé par UniversSale et je vais leur demander 65millions d'€ de domages et interets pour le traumatisme occasioné par tant de spoilation. jvé ptet mm leur envoyer les keufs...
la meilleur méthode: tu boycotes les grosses organisations monopolistiques en achetant de l'occasion et t'achete des trucs sympas chez des petits labels
GLOBOX wrote : la meilleur méthode: tu boycotes les grosses organisations monopolistiques en achetant de l'occasion et t'achete des trucs sympas chez des petits labels
Remarque il ne doit pas y avoir forcement grand monde chez nous à acheter l'album de Jennifer chez Sonyversal & Cie. A l'exception de quelques mastodontes étiquetés "french touch" ou apparentés il ne doit pas y avoir beaucoup de musique Trance psy (ou Techno & autres) signés chez eux !
On ne peut pas boycotter......y a rien à acheter !
electriclovers wrote : en ce qui concerne les grosses majors ou les multi nationales concernées,en effet,ça n'est pas ce qui va les inquiétés,z'ont toujours une parade pour récupérer leur blé...
Cela dit,chers amoureux de la trance,si vous souhaitez qu'elle dure,va falloir aussi,être un peu plus lucide quand à la zik que vous télécharger... quand tu te mets en quête d'un label,avec tes originaux,et qu'on te dit,non ça va pas le faire....et quelques jours + tard tu le retrouve en ligne sur un trader....t'as légérement les boules d'avoir bosser,pour au final te faire piquer ta zik pour la difuser dans le monde entier....il est même arrivé que des rmx ou fusion de deux tracks d'artistes différents se retrouvent en ligne sans bien sûr aucune autorisation des artistes concernés,sachant que payer un avocat serait très honéreux,ils en profitent et les téléchargeurs aussi sans forcément le savoir. Evidemment difficile de faire la part des choses(unrealease autorisées ou non?),mais sachez que beaucoup de labels désireux de vous donner de l'originalité et promotionner des artistes afin que tout le monde puissent en vivre meurt,mette la clef sous la portes,ou à peine commencer,arrêtent là les frais...posez vous la question....le milieu de la trance et sans aucn doute un des pires pièges à cons.Il y a des artistes qui crèvent de faim en attendant,et qui n'ont pas de koi prendre le metro... moi perso,ch'ui trop idéaliste,je le sais,et j'espère ne pas être la seule,mais hélas non moins consciente du danger de la survie de ce qui fait bouger nos culs en teufs!!!! a savoir la ZIK!!
ben qu'ils commencent par arrete d'envoyer des demo 1 mois avant la sortie ,car la plupart du temps c'est comme ça qu'il se retrouve sur les p2p ...
Et ce n'est pas parce que je reçois encore quelques démos mais...... ce sont aux gens qui les reçoivent de ne pas en mettre en P2P.
SPIRIT ZONE a arrêté d'en envoyer pour ce motif. Je pense qu'ils ont aussi ciblé les structures évidemment.
Prenons le cas d'une émission de radio. Son but est de faire découvrir de nouveaux artistes et promouvoir des labels. Ce que SPIRIT ZONE a fait est peut être un cas isolé mais il traduit bien le danger du P2P pour les labels indépendants.
Et par conséquent pour les radios, puisque finalement, à quoi ça sert si les skeuds sont dispos sur le net.
Des téléchargeurs coupés net du Net Sur demande des maisons de disques, les fournisseurs d'accès ont résilié les contrats de «pirates».
Par Florent LATRIVE - Samedi 11 décembre 2004 (Liberation - 06:00)
Privés d'accès à l'Internet pour usage immodéré des services gratuits d'échange de musique : une dizaine d'internautes français ont vu leur contrat d'abonnement à un fournisseur d'accès résilié ces dernières semaines sur demande des maisons de disques. Objectif : dissuader les millions de Français adeptes des systèmes peer-to-peer (P2P) comme Kazaa ou eMule de s'adonner au téléchargement.
Discrète. C'est le délégué général de l'Association des fournisseurs d'accès à l'Internet (AFA), Stéphane Marcovitch, qui a fait cette annonce vendredi à Cabourg, lors des rencontres annuelles de l'Adami, la société civile des artistes-interprètes. «Il y a eu plusieurs coupures d'abonnement sur demande de juges», a-t-il déclaré. Un important fournisseur d'accès nous a confirmé vendredi «quelques cas» depuis début novembre. La Société civile des producteurs phonographiques (SCPP), à l'origine des mesures, se montre en revanche discrète et promet seulement de communiquer dans «les semaines à venir». Selon nos informations, il s'agit surtout d'attendre que plusieurs dizaines d'autres cas viennent s'ajouter à ces premières résiliations.
Le principe de couper l'accès des «pirates» au Net est apparu en juillet, à l'occasion d'une charte de lutte contre les échanges sauvages via le P2P, signée par les producteurs et les fournisseurs d'accès, sous l'impulsion du gouvernement (Libération du 15 juillet). Si le texte confirmait l'intention des maisons de disques de poursuivre au pénal certains internautes, il introduisait aussi ce concept de la coupure de compte. L'objectif ? Disposer d'une arme plus légère à côté des procès, procédures jugées tout à la fois trop longues et porteuses de risques en termes d'image, tant les peines encourues sont lourdes.
De fait, les maisons de disques ont déposé une cinquantaine de plaintes depuis le mois de juin ; des perquisitions ont eu lieu partout en France, et les premiers procès ne sont pas attendus avant les semaines à venir. Chaque prévenu risque jusqu'à trois ans de prison et 300 000 euros d'amende. Depuis plusieurs mois, les producteurs surveillent les principaux services d'échanges P2P, comme Kazaa ou eMule, pour y repérer les usagers les plus actifs et collecter leur adresse IP, sorte d'identifiant numérique des internautes. Pour débrancher ces derniers, il leur suffit de se rendre au tribunal de grande instance afin d'obtenir une ordonnance sur requête d'un juge civil, procédure non contradictoire et très rapide. Nantis de l'ordonnance, ils se retournent ensuite vers le fournisseur d'accès seul à même de faire la correspondance entre l'adresse IP et l'identité de l'internaute pour exiger la résiliation de l'abonnement, comme tous les prestataires s'y sont engagés avec la charte de cet été. «En parallèle, on envoie un courrier d'explication avec une copie de la décision de justice», explique le porte-parole d'un fournisseur d'accès.
L'association de consommateurs UFC Que choisir se veut «solidaire» des internautes ainsi punis, affirme son directeur de la communication, Julien Dourgnon, qui estime que les maisons de disques sont en train d'«approfondir une fracture entre le public et le monde de la musique plutôt que d'essayer de trouver une solution d'équilibre». Le délégué général de l'AFA juge pour sa part «ces mesures moins brutales que l'action pénale et les perquisitions à 6 heures du matin». Il ajoute que rien n'interdit aux internautes ainsi débranchés de se réabonner immédiatement à un autre fournisseur d'accès.
Bon, je n'ai aucune conaissance juridique, mais par rapport à quelle directive est-il possible, de la part des Majors (ce sont toujours elles qui déposent plainte....) de sévir. Francaise ou Européenne ? le mode de sanction (supression d'accès internet) est-il légal en france ? s'il l'est de manière local et ne l'est pas selon la loi européenne, quelle conséquence ?
Ce qui m'inquiète c'est que la remise en question de la copie privée (passible de sanction, un comble !) et que les méthodes des "Majors" fassent jurisprudence dans d'autres secteurs (Editeurs logiciels par exemple..)