On peut lire sur l'article :
dans la salle techno, certains déclarant même « gober » jusqu'à quinze pilules en quelques heures [:mdr][:mdr][:mdr]
On voit aussi réapparaître de nouveau l'héroïne, qui permet aux consommateurs d'ecstasy de mieux supporter leur descente.
Tabassages « à la tête du client », fichage des dealers, travail au noir : l'affaire du Studio 287 (lire en page 9) a mis au jour l'existence de pratiques qu'on croyait révolues. « Faire bosser des vigiles au black ou employer des flics
les gens s'envoyaient des rails de coke gros comme le doigt sur les tables
Si c'est pas de la propagande anti electro-musique pour faire peur à la ménagère de + de 50 ans.
Au prochain article on vous dira qu'ils pratiquaient des messes noir et se faisaient bruler les tétons à la bougie en dansant sur des rythmes teckno.