Accompagné d’un très bon ami (pour qui s’était son 1er festival Trance... mais qui a l’habitude d’en manger ! 
) à Budapest le 22 vers midi, nous ne perdons pas de temps et prenons tout de suite la direction de Pincehely. Après 2 petites heures de train, nous arrivons sur place et commençons à déchanter. Il pleut, il y a 3 pelés et 1 tondu, le son ne marche pas encore. 
L’orga nous explique que la pluie massive tombant depuis la veille les a retardés. Ils arrivent tout de même à monter le son et là c’est la bonne surprise : ça crache, ça pète, c’est fort, c’est beau ! 
La 1ère nuit est pour moi à oublier, ils font tourner 3 fois le même CD en boucle, il pleut, les moustiques sont affamés… nous ont va dormir et on essaye de garder le moral en se disant qu’il y aura des lendemains meilleurs.
Réveil donc à la fraîche le matin suivant, on se dirige vers le dancefloor, on est 40 à tout casser, il fait gris…
On boit quelques verres, on va se changer plusieurs fois nos chaussettes qui sont trempes au bout d’une demi-heure, on boit d’autres verres en observant le ciel et en espérant de l’amélioration. C’est dur mais on ne perds pas le moral. 
L’orga nous explique qu’ils ne vont pouvoir payer les DJs. Ils tablaient sur 1000 personnes et finalement entre 200 et 300 personnes au total ont du être présentes au festival. La plupart accepteront de venir jouer quand même ! 
On se dit alors que l’énergie est tout de même présente et qu’on va réussir à passer un bon moment. Et on ne s’est pas trompé ! 
Le temps s’est amélioré au fil des 4 jours et nous avons eu droit pour la dernière journée à un super soleil qui cogne bien comme il faut. 
Niveau musique nous avons été gâtés, nous avons eu droit je pense à toute la production actuelle qui se fait en progress. On a eu droit entre autre à un ping-pong de 5 heures de Heyden et Emok. Bien bien même si j’aurais préféré deux presta séparées de l’un et de l’autre. Ca manquait un peu de cohérence parfois dans leur histoire.
Bon on a eu droit à de la bonne musique et je ne sais pas pourquoi mais je ne me souviens vraiment que de la dernière après-midi avec entre autre un set impeccable de Sheera et un beau live de Andromeda. 
Autrement on a rencontré un petit couple de suisse très sympa et un londonien vraiment excellent, un certain Mark !
Au final le bilan est mitigé :
Pour les moins : manque de gens, manque de déco, pas d’eau et de douche.
Pour les plus : gros son, bonne musique, bonne ambiance générale, les hongrois à qui appartenaient le terrain très sympa (on leur a bien fait fonctionner leur bar aussi…
)
On est resté 5 jours de plus à Budapest et ses environs. C’est une ville magnifique qui vaut vraiment le détour !
Ah oui, on a fait la parade de Budapest le samedi : de gros gros moyens au niveau sono et lumière. Par contre pour le reste… déplorable : petites jeunes de 16 ans payées pour se dandiner les seins à l’air sur les chars, cacophonie du début jusqu’à la fin due en partie aux différent sons qui s’entre chevauchaient, programmation musicale des chars très cheap (eurotrance, disco, r’nb, un peu de Techno), chars qui n’étaient présent que pour vendre. C’était une gigantesque entreprise commerciale et je pense qu’elle a du rassembler pas loin de 1 million de personnes ! Bingo ! :fou:
) à Budapest le 22 vers midi, nous ne perdons pas de temps et prenons tout de suite la direction de Pincehely. Après 2 petites heures de train, nous arrivons sur place et commençons à déchanter. Il pleut, il y a 3 pelés et 1 tondu, le son ne marche pas encore. L’orga nous explique que la pluie massive tombant depuis la veille les a retardés. Ils arrivent tout de même à monter le son et là c’est la bonne surprise : ça crache, ça pète, c’est fort, c’est beau ! La 1ère nuit est pour moi à oublier, ils font tourner 3 fois le même CD en boucle, il pleut, les moustiques sont affamés… nous ont va dormir et on essaye de garder le moral en se disant qu’il y aura des lendemains meilleurs.Réveil donc à la fraîche le matin suivant, on se dirige vers le dancefloor, on est 40 à tout casser, il fait gris…
On boit quelques verres, on va se changer plusieurs fois nos chaussettes qui sont trempes au bout d’une demi-heure, on boit d’autres verres en observant le ciel et en espérant de l’amélioration. C’est dur mais on ne perds pas le moral. L’orga nous explique qu’ils ne vont pouvoir payer les DJs. Ils tablaient sur 1000 personnes et finalement entre 200 et 300 personnes au total ont du être présentes au festival. La plupart accepteront de venir jouer quand même ! On se dit alors que l’énergie est tout de même présente et qu’on va réussir à passer un bon moment. Et on ne s’est pas trompé ! Le temps s’est amélioré au fil des 4 jours et nous avons eu droit pour la dernière journée à un super soleil qui cogne bien comme il faut. Niveau musique nous avons été gâtés, nous avons eu droit je pense à toute la production actuelle qui se fait en progress. On a eu droit entre autre à un ping-pong de 5 heures de Heyden et Emok. Bien bien même si j’aurais préféré deux presta séparées de l’un et de l’autre. Ca manquait un peu de cohérence parfois dans leur histoire.
Bon on a eu droit à de la bonne musique et je ne sais pas pourquoi mais je ne me souviens vraiment que de la dernière après-midi avec entre autre un set impeccable de Sheera et un beau live de Andromeda. Autrement on a rencontré un petit couple de suisse très sympa et un londonien vraiment excellent, un certain Mark !
Au final le bilan est mitigé :
Pour les moins : manque de gens, manque de déco, pas d’eau et de douche.
Pour les plus : gros son, bonne musique, bonne ambiance générale, les hongrois à qui appartenaient le terrain très sympa (on leur a bien fait fonctionner leur bar aussi…
)On est resté 5 jours de plus à Budapest et ses environs. C’est une ville magnifique qui vaut vraiment le détour !
Ah oui, on a fait la parade de Budapest le samedi : de gros gros moyens au niveau sono et lumière. Par contre pour le reste… déplorable : petites jeunes de 16 ans payées pour se dandiner les seins à l’air sur les chars, cacophonie du début jusqu’à la fin due en partie aux différent sons qui s’entre chevauchaient, programmation musicale des chars très cheap (eurotrance, disco, r’nb, un peu de Techno), chars qui n’étaient présent que pour vendre. C’était une gigantesque entreprise commerciale et je pense qu’elle a du rassembler pas loin de 1 million de personnes ! Bingo ! :fou:
