Arrivés tard repartis tôt juste pour voir la fin de Simon Baring et le live de MUTe. Le premier set s'est fait un peu dans la douleur avec des problèmes de son, ça devait certainement taper dans le rouge quelque part. Le live s'est bien mieux déroulé, son bien réglé et des morceaux impeccables...nous étions arrivés au bon moment. Déco simple mais vu le principe de la soirée ça pouvait coller.
On va dire que ce n'est pas du fait de l'orga mais plutôt du gestionnaire de la salle, car on a été sur le cul de voir l'accueil qui nous a été réservé avant d'entrer sur le DF. Entre la sécu limite qui nous pousse direct au vestiaire; le vestiaire obligatoire (comment on fait si on vient à poil?) sans moyen de regrouper sur un même cintre deux fringues ou une fringue et un sac (2€ l'article écrit en grand) avec une fois sur le DF la sécu qui fait la chasse au sweat mis autour de la taille en demandant de retourner au vestiaire; la zone fumeur ressemblant plus à une cellule de garde à vue (c'est la ventilation sous-dimensionnée qui permettait de faire la différence); le filtrage de l'accès au chiotte façon école maternelle et le prix des conso (bon sur ce point on n est que des provinciaux donc je ne sais pas si 6 euro le soft c'est une habitude sur Paris). Bref il fallait s'accrocher à son smile pour ne se comparer à du bétail et se mettre a meugler. Est ce devenu si dure de trouver une salle régulière sur Paris pour qu'on en arrive à ce genre de prise d'otage? si c'est le cas je vous plains même si j'admire l'effort fait pour réussir à garder de la motivation.
Désolé d'être un peu dur mais ce fut ainsi...
On va dire que ce n'est pas du fait de l'orga mais plutôt du gestionnaire de la salle, car on a été sur le cul de voir l'accueil qui nous a été réservé avant d'entrer sur le DF. Entre la sécu limite qui nous pousse direct au vestiaire; le vestiaire obligatoire (comment on fait si on vient à poil?) sans moyen de regrouper sur un même cintre deux fringues ou une fringue et un sac (2€ l'article écrit en grand) avec une fois sur le DF la sécu qui fait la chasse au sweat mis autour de la taille en demandant de retourner au vestiaire; la zone fumeur ressemblant plus à une cellule de garde à vue (c'est la ventilation sous-dimensionnée qui permettait de faire la différence); le filtrage de l'accès au chiotte façon école maternelle et le prix des conso (bon sur ce point on n est que des provinciaux donc je ne sais pas si 6 euro le soft c'est une habitude sur Paris). Bref il fallait s'accrocher à son smile pour ne se comparer à du bétail et se mettre a meugler. Est ce devenu si dure de trouver une salle régulière sur Paris pour qu'on en arrive à ce genre de prise d'otage? si c'est le cas je vous plains même si j'admire l'effort fait pour réussir à garder de la motivation.
Désolé d'être un peu dur mais ce fut ainsi...