Arrivée sur les lieux vers 2h30, attente plutôt trop longue à l'entrée mais ça a fini par passer, tandis que j'entendais au loin un p'tit morceau de skazy déchirant la nuit . Déjà beaucoup de monde, ça se voyait que le sud-ouest attendait depuis un bon moment une teuf en plein air !! La scène est placée au fond de la cour du château, le sol est légèrement bosselé mais tout à fait acceptable. Sur la gauche, il y un bar, et les dépendances (d'anciennes caves) servant pour l'occasion de salle d'expo. Un p'tit coup d'oeil et puis s'en vont...
Le mec qui mixe envoie une tek un peu trop molle, correspondant moyennement à mes goûts mais ça commence à cogner plus sérieusement une heure + tard, quand un autre dj prend les manettes (désolé pour les noms, à part le fly internet, je n'ai pas vu de line-up sur place). Du bon gros son, des morceaux connus et un certain nombre de galettes anonymous. Il joue jusqu'au petit jour et plus encore, tandis que le soleil ne veut pas encore se montrer, ménageant suspens et épidermes. Bonne ambiance sur le dance floor, ça bouge et ça crie, et parfois ça sourit merveilleusement (merci Florence, aka Albator).
Un brun prend le relais et c'est parti pour le set le plus nerveux de la soirée (heu, matinée, m'sieur !), de 3-d aux tous meilleurs israélites, je trouve là le savant mélange de ce que j'aime entendre en teuf. Et puis, forcément, le soleil fini par montrer le bout de son nez, le temps de demander l'heure, il est 11h moins 15 (putain de compression du temps !!) et c reparti pour un tour, alors que le dancefloor s'est ostensiblement vidé, à l'inverse des pelouses adjacentes...
Après lui, à moins que cela ne soit l'inverse, je crois reconnaître un des djs de Kaméa dernièrement entendu lors du "Carnaval du son" du 8 mai dernier, où nous avions eu le privilège de trancer en plein jour dans les rues de Toulouse, et sous le soleil en plus de ça ! A midi, première vraie pause un peu à l'écart du son, le temps de trouver une nouvelle paire de pieds et de manger un morceau...
Revenu dans la cours, c'est un bien joli spectacle qui s'offre à moi : il reste encore un peu de monde, dansant entre les yeux de filles devenus mystère derrière les lunettes noires ; le soleil est éclatant et surchauffe un parterre d'herbe qui commence à brûler, après avoir été généreusement piétiné. Les gens se parlent, et se refilent leurs dernières clopes, tandis qu'une jolie danseuse vient te rafraîchir avec son pistolet à eau. On ne va pas gâcher son plaisir.
A 14h, c'en est fini de ma nouvelle paire de pieds, achetée d'occase, elle valait pas un clou. Nous restons sur zone jusqu'à 18h, profitant de l'ombre de quelques arbres et du son, décidément, qui ne veut pas se laisser mourir...
Om sweet Om, on attend la prochaine avec impatience, avec un ou deux p'tits live pour agrémenter le tout. Special thank's aux Kaméa que j'ai vu là-bas et qui sont toujours là pour servir le son.
O-liv-R
Le mec qui mixe envoie une tek un peu trop molle, correspondant moyennement à mes goûts mais ça commence à cogner plus sérieusement une heure + tard, quand un autre dj prend les manettes (désolé pour les noms, à part le fly internet, je n'ai pas vu de line-up sur place). Du bon gros son, des morceaux connus et un certain nombre de galettes anonymous. Il joue jusqu'au petit jour et plus encore, tandis que le soleil ne veut pas encore se montrer, ménageant suspens et épidermes. Bonne ambiance sur le dance floor, ça bouge et ça crie, et parfois ça sourit merveilleusement (merci Florence, aka Albator).
Un brun prend le relais et c'est parti pour le set le plus nerveux de la soirée (heu, matinée, m'sieur !), de 3-d aux tous meilleurs israélites, je trouve là le savant mélange de ce que j'aime entendre en teuf. Et puis, forcément, le soleil fini par montrer le bout de son nez, le temps de demander l'heure, il est 11h moins 15 (putain de compression du temps !!) et c reparti pour un tour, alors que le dancefloor s'est ostensiblement vidé, à l'inverse des pelouses adjacentes...
Après lui, à moins que cela ne soit l'inverse, je crois reconnaître un des djs de Kaméa dernièrement entendu lors du "Carnaval du son" du 8 mai dernier, où nous avions eu le privilège de trancer en plein jour dans les rues de Toulouse, et sous le soleil en plus de ça ! A midi, première vraie pause un peu à l'écart du son, le temps de trouver une nouvelle paire de pieds et de manger un morceau...
Revenu dans la cours, c'est un bien joli spectacle qui s'offre à moi : il reste encore un peu de monde, dansant entre les yeux de filles devenus mystère derrière les lunettes noires ; le soleil est éclatant et surchauffe un parterre d'herbe qui commence à brûler, après avoir été généreusement piétiné. Les gens se parlent, et se refilent leurs dernières clopes, tandis qu'une jolie danseuse vient te rafraîchir avec son pistolet à eau. On ne va pas gâcher son plaisir.
A 14h, c'en est fini de ma nouvelle paire de pieds, achetée d'occase, elle valait pas un clou. Nous restons sur zone jusqu'à 18h, profitant de l'ombre de quelques arbres et du son, décidément, qui ne veut pas se laisser mourir...
Om sweet Om, on attend la prochaine avec impatience, avec un ou deux p'tits live pour agrémenter le tout. Special thank's aux Kaméa que j'ai vu là-bas et qui sont toujours là pour servir le son.
O-liv-R