Pour être tout à fait exact, depuis un mois, rien ne vaut plus à mes oreilles un bon set psy de PFF pendant une goa open air. La disparition totale de ma douleur à 5h02 en est probablement l’illustration la plus éloquente qui soit. PFF est un baume pour le corps et l’esprit.
Je quitte rapidement la forêt vaudoise.
Resté au sol, mon corps évolue sur un océan de vibrations lancinantes émanant du Magicien. Mon esprit, lui, vole déjà d’une planète à l’autre, incapable de demeurer plus longtemps dans une enveloppe charnelle qui ne fait finalement que le retenir dans un monde dont il est déjà trop souvent prisonnier.
Le grand voyage commence. Je survole les mers et les continents, traverse l’atmosphère pour explorer l’espace et parcours des années-lumière en une poignée de secondes. Pour l’avoir vu de mes propres yeux, je peux désormais l’affirmer sans crainte: même aux confins les plus reculés de la galaxie, le son de PFF fait danser les étoiles.
Le jour commence à poindre alors que je rouvre enfin les yeux. J’ignore combien de temps je suis parti mais il doit bientôt être 7h. Le ciel s’éclaircit rapidement au-dessus des arbres et le floor commence à se clairsemer, bien qu’il reste encore plus d’une bonne centaine de tapeurs de pied.
Levant les yeux vers les platines, j’aperçois PFF dansant comme un beau diable sous ses interminables dreads, et je le trouve tout simplement beau. C’est assez difficile à exprimer, mais le bougre mérite que je fasse l’effort.
Regarder Seb, c’est un peu comme regarder un futur empli d’espoir. Le genre de vision qui vous réconcilie avec l’espèce humaine et vous donne à nouveau envie de croire en elle, tout simplement parce que Seb en fait partie lui aussi.
Seb, c’est le visage que je donnerais à la Gentillesse si je devais la dessiner. C’est aussi le visage que je donnerais à la Sérénité, à l’Expérience, à la Douceur, à la Paix, à la Sagesse et à l’Amour si vraiment on me forçait à utiliser mes deux mains gauches pleines de pouces pour un tel exercice.
Le plus étrange là-dedans, c’est que je ne le connais quasiment pas. En dehors de quelques échanges sur Facebook, nos interactions se limitent à 5 minutes de discussion au détour d’un floor réparties entre Greenosophy, Bassin et cette Dark Forest Astral Party.
Cela ne m’empêche pourtant aucunement de lever sur lui le regard d’un gosse ayant trouvé l’adulte à qui il voudrait ressembler plus tard, sinon pour son mode de vie, du moins pour ses valeurs et sa bonté qui en font une pépite rarissime au milieu d’une décharge planétaire
http://soundcloud.com/pffgoa
Je quitte rapidement la forêt vaudoise.
Resté au sol, mon corps évolue sur un océan de vibrations lancinantes émanant du Magicien. Mon esprit, lui, vole déjà d’une planète à l’autre, incapable de demeurer plus longtemps dans une enveloppe charnelle qui ne fait finalement que le retenir dans un monde dont il est déjà trop souvent prisonnier.
Le grand voyage commence. Je survole les mers et les continents, traverse l’atmosphère pour explorer l’espace et parcours des années-lumière en une poignée de secondes. Pour l’avoir vu de mes propres yeux, je peux désormais l’affirmer sans crainte: même aux confins les plus reculés de la galaxie, le son de PFF fait danser les étoiles.
Le jour commence à poindre alors que je rouvre enfin les yeux. J’ignore combien de temps je suis parti mais il doit bientôt être 7h. Le ciel s’éclaircit rapidement au-dessus des arbres et le floor commence à se clairsemer, bien qu’il reste encore plus d’une bonne centaine de tapeurs de pied.
Levant les yeux vers les platines, j’aperçois PFF dansant comme un beau diable sous ses interminables dreads, et je le trouve tout simplement beau. C’est assez difficile à exprimer, mais le bougre mérite que je fasse l’effort.
Regarder Seb, c’est un peu comme regarder un futur empli d’espoir. Le genre de vision qui vous réconcilie avec l’espèce humaine et vous donne à nouveau envie de croire en elle, tout simplement parce que Seb en fait partie lui aussi.
Seb, c’est le visage que je donnerais à la Gentillesse si je devais la dessiner. C’est aussi le visage que je donnerais à la Sérénité, à l’Expérience, à la Douceur, à la Paix, à la Sagesse et à l’Amour si vraiment on me forçait à utiliser mes deux mains gauches pleines de pouces pour un tel exercice.
Le plus étrange là-dedans, c’est que je ne le connais quasiment pas. En dehors de quelques échanges sur Facebook, nos interactions se limitent à 5 minutes de discussion au détour d’un floor réparties entre Greenosophy, Bassin et cette Dark Forest Astral Party.
Cela ne m’empêche pourtant aucunement de lever sur lui le regard d’un gosse ayant trouvé l’adulte à qui il voudrait ressembler plus tard, sinon pour son mode de vie, du moins pour ses valeurs et sa bonté qui en font une pépite rarissime au milieu d’une décharge planétaire
http://soundcloud.com/pffgoa