amigo
Tu sais je pense que tu n'as pas à regretter tes choix...malgrés leur conséquences
Tu as le mérite d'avoir essayé et ca mon ami, c'est déja énorme
Le système t'as bouffé....et bien bouffe le à ton tour, attention, quand je dit "bouffé", je ne t'incite pas à avoir des réactions violente envers les gens qui t'ont gaché la vie, mais plutot de transformer ta haine et ta rage en niak...tu me parait assez intélligent pour rebondir de ce trou, je pense que tous ce qu'il te faut, c'est retrouvé l'envie (la niak quoi
), tu sais il y a quelques temps je me suis retrouvé un peu dans la même situation que toi (à plus petite echelle...), et comme toi, je me suis mis à déprimer et à ne plus avoir envie de rien...un ami m'a alors envoyé ce petit texte de Néruda qui a changé ma visions des choses et encore aujourd'hui quand ca ne va pas, il me suffit de le lire pour me redonner l'envie...j'espère qu'il pourra t'aidé à te remotiver, en tous cas t'inquiète pas man tu vas y arrivé...c'est sur
Je te souhaite tout le bonheur du monde...
[citation]
Il meurt lentement
Celui qui ne voyage pas,
Celui qui ne lit pas,
Celui qui n'écoute pas de musique,
Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement
Celui qui détruit son amour-propre,
Celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement
Celui qui devient esclave de l'habitude
Refaisant tous les jours les mêmes chemins,
Celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
De ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu
Il meurt lentement
Celui qui évite la passion
Et son tourbillon d'émotions
Celles qui redonnent la lumière dans les yeux
Et réparent les coeurs blessés
Il meurt lentement
Celui qui ne change pas de cap
Lorsqu'il est malheureux
Au travail ou en amour,
Celui qui ne prend pas de risques
Pour réaliser ses rêves,
Celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
N'a fui les conseils sensés.
Vis maintenant !
Risque-toi aujourd'hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d'être heureux ! "
Traduction d'un discours de Pablo Néruda - Prix Nobel de littérature 1971
[/citation]