Iona wrote :
et encore quand tu tutoie tes parents c'est qd t vrai un rebel... les debutants commencent par rechigner la messe du dimanche matin
Plus sérieusement, dans ton chapitre sur les drogues dans ce mouvement, si j'étais toi (mais je suis vieux, pas beau, et j'habite la province), j'écrirai un truc du genre:
La contre-culture trance valorise la beauté, la diversité, etc... tout autant qu'elle rejette l'indiférence, la haine, la violence et les valeurs matérialistes de ce monde. Le décallage est énorme entre les villes et les lieus "transcendé" pour un évennement.
Certaines personnes, à un moment donné de leur existence, pour mettre de côté de la vie de tous les jours, ont besoins de modificateurs d'état de conscience communément appelés drogues.
Pour d'autres l'ambiance de paix et d'amitié qui se crée dans une fête trance donne un environnement propice à l'exploration intérieure, à l'aide des mêmes drogues.
D'autres, n'en ressentent pas le besoin. Soit qu'elles ont trouvé une paix intérieure qui les rend inutiles, ou bien elles ont trouvé d'autre façon de modifier leur état de conscience telle que la respiration contrôlée, une dance folle à dervish tourner, whatever.
Ces drogues ont été utilisée pour soigner, que ce soit par les shamans traditionnels (champis, cactus, divers trucs à fumer...), soit plus récemment par les psys (MDMA, LSD...). Aujourd'hui et depuis peu dans l'histoire de l'humanité elles sont interdites. Dans le même temps d'autres, plus abrutissantes sont consommée tous les jours par des millions de personnes, pour soigner différemment des pathologies crées par le monde moderne. Pourquoi en interdire certaines et en rembourser d'autres? A d'autres époques c'était les religions qui étaient persécutées...
Le parallèle n'est pas évident, mais aujourd'hui, ceux qui cherchent à se soustraire pendant quelques heures aux réalités de ce monde peuvent encore être emprisonnés pour un "crime" sans victime. Une seule réalité existe, un seul jeu de règles est valables pour tous, la compétition de tous les jours. Il ne faudrait surtout pas que les gens viennent à douter de leur réalité et absolue nécessité.