[:frayeur]excusez-moi les gars... mais je crois que je ne vais pas être d'accord avec vous sur ce sujet.
Vos propos sont un peu voire pas mal "border line" ; résultat: ssucrine est parti et n'aura pas eu la réponse qu'il cherchait, ou du moins vous n'avez fait que confirmer ce qu'il savait déjà...: no way...
Voilà pourquoi ce genre de soirée "trance queer" commencent à arriver. Pour être sûr de pouvoir s'éclater sur cette musique en sachant qu'on peut se lâcher vraiment (et pas forcément pour finir en partouze!). Je connais le milieu et ça peut être délirant. Mais je ne suis pas sûr que cela puisse se faire en soirée trance "classique". J'ai pu le constater à certaines soirées, et c'est ce que me racontait un trans que j'ai rencontré à la beach family. Il était très surpris que je le branche lui et son copain car j'avais remarqué qu'ils n'osaient pas s'asseoir à côté de moi au chill out alors qu'il y avait de la place à côté sur des coussins. ils avaient peur de ma réaction...les garçons se méfient des réactions des hétéros car certains sont bien lourds voire blessants, et même violents. Ils s'imaginent tout de suite que le mec le branche pour lui foutre un doigt dans le cul... C'est grave, je trouve, ces stéréotypes persistants et ces relents d'exclusion... évidemment, il y a des lourdingues qui sont un peu trop directs et insistants... mais les hétéros imbibés d'alcool... ils sont comment?
Et avec les filles, alors?
non, décidément, il faut faire preuve de courage pour affronter cette situation. Le public trance est open, oui, mais pas totalement. désolé...
Allez, sans rancune les gars,
mais je ne pouvais pas me taire [:spamafote]
p.s: merci de ton intervention reve en bleu