ouais enfin toute musique est faite pour voyager...
et c'est sur les artistes de la goa trance n'ont jamais pris de drogue...
et c'est sur les artistes de la goa trance n'ont jamais pris de drogue...
ioan wrote :
ouais enfin toute musique est faite pour voyager...
et c'est sur les artistes de la goa trance n'ont jamais pris de drogue...
ioan wrote :
ouais enfin toute musique est faite pour voyager...
et c'est sur les artistes de la goa trance n'ont jamais pris de drogue...
ioan wrote :
c'était ironique
teefm wrote :
http://fr.youtube.com/watch?v=wfcbEoOo-kU
franck Glyphcult wrote :
oui et comme chacun le sait l'alcoolique ou le dépendant n'en font pas partie !
BigZ wrote :
bah, les deux sont bons... Suffit de savoir user de moderation. Ni l'abstinence, ni l'outrage ne sont des solutions viables.
Le chemin de chacun est unique et semé d'embuches mais je suis persuadé qu'on peut trouver un equilibre personnel.
Suffit de pas trop se complaire...
franck Glyphcult wrote :
sauf que là tu tiens pas compte d'une réalité, celle de la dépendance qui nécessite, je le répète encore une fois à dessein : une abstinence totale (arrêt du produit en cause quel qu'il soit) et bien souvent un nouveau mode de vie...
limpts wrote :
Je me demandais si tu allais intervenir franck...
Quand j'ai lu le message de Bigz j'ai longtemps réfléchi à la réponse que je pouvais lui donner et puis je me suis dit laisse couler... laisse faire ... trop long à expliquer et trop long à débattre et souvent très mal compris sans parler du jugement...
donc laisse couler...
pour ce qui est du mode de vie...on nous le répéte il faut pas jouer avec les couilles du lion ...
changer tout? complétement se fait 24 heures à la fois!!! ne plus revoir ses amis?
je pense qu'il ne faut pas oublier d'ou l'on vient!!!
si les gens autour de toi savent qui tu es, d'ou tu viens, et qu'ils t'aiment et te respectent ils seront être la pour toi et t'aider dans la voie de la sobriété... franchement je pense que certaines personnes préférent voire leurs amis sobre plutot que complétement déglingé à faire et à dire n'importe quoi!!!
maintenant je ne pense pas qu'on puisse rayer à tout jamais ce que l'on a été et ce que l'on est...ce n'est pas parce que l'on est sobre qu'on doit absolument arreter de vivre..."oui" vivre autrement, surement mais fermer la porte à tout jamais d'un monde qu'on aime...suis pas entièrement d'accord avec toi... sinon on peut se poser la question est ce que l'on allait en festival et soirée pour se défoncer ou est ce qu'on y allait pour ce qu'il y avait à savoir le son, la dance et le partage...
franck Glyphcult wrote :
parlant pour moi, je ne renie pas ce que j'ai été, simplement j'ai passé une grande partie de ma vie dans l'ignorance de ce que je suis et dans la complaisiance vis à vis de cette fausse image de moi que j'avais. Quant à fermer la porte à tout jamais, tu sais bien Limpts que toujours et jamais sont des termes que celui qui "a un programme" doit essayer de proscrire de son vocabulaire. Simplement je m'eloigne aujourd'hui des gens qui pêchent par ignorance ou se complaisent dans cette ignorance au sujet de la maladie, car je sais que si ils ne me sont pas hostiles (loin s'en faut) leur maladroite solicitude peut me causer du soucis. Mais avant de m'éloigner "un jour à la fois" je transmet le message et je fais de l'info, ensuite si tout cela reste lettre morte, j'avise.
Pour ce qui est des motivatiosn à aller en teuf, pour un dépendant comme moi, c'est clairement la conso qui motivait tout le reste. S'agissant de musique, danse, partage etc, la sincérité était également de mise, mais je crois que fondamentelement s'était un alibi pour trouver, ressentir, entretenir l'IVRESSE
talking machines wrote :
On peut très bien etre sobre , en teuf , et ressentir l'ivresse (j'y arrive de plus en plus , meme hors teuf ....)
talking machines wrote :
On peut très bien etre sobre , en teuf , et ressentir l'ivresse (j'y arrive de plus en plus , meme hors teuf ....)
sanandha wrote :
Ptêtre que même l'ivresse naturel peut poser un problème de dépendance... je dis bien peut-être; des situations qui rentrent en raisonnance avec d'anciennes memoires cellulaires peuvent déboucher sur des "remontées", des crises d'angoisses, par exemple.
BEaucoup sont dépendant à l'amour (à échelles différentes biensûr); le faite d'être aimé et accepter... Faut-il pour ça renoncer à l'amour et le fuir à tout pris en pronant l'abstinence ? L'abstinence est la solution pour certains, mais n'est-elle pas une solution temporaire en attendant de retrouver la source du mal, cette cause qui nous force à compenser par des substances notre manque d'affection?
talking machines wrote :
On peut très bien etre sobre , en teuf , et ressentir l'ivresse (j'y arrive de plus en plus , meme hors teuf ....)
franck Glyphcult wrote :
pour des raisons physiologiques (neurobiologiques entre autres), le dépendant n'a pas naturellement la capacité de provoquer et d'entretenir l'ivresse, en gros il n'a pas les moyens de l'induire ni même de la vivre spontanément, c'est bpourquoi il la recherche si intensément. Alors là ou d'autres accèdent sans rien prendre à des états intérieurs de bien être, d'euphorie, d'extase et de lacher prise et accèdent à ce fameux sentiment océanique d'abandon de soi, lui il prend des substituts, des substances, des boosters, des expédiants car il a besoin de béquilles... plus il en prend pire c'est!
talking machines wrote :
j'l'aime bien moi , ma mémoire cellulaire .....; je vois ce que tu veut dire , mais dans ce cas , si la mémoire est intense en "bon souvenir " , bien plus qu'en mauvais , elle peut très bien servir l'abstinence ....
Le cerveaux est une excellente machine qui peut connaitre bien des états de conscience avec ou sans produits.....
Apprendre naturellement a modifier certains états de conscience , nécessite une introspection régulière de son moi profond , et peut s'avérer très utile pour évoluer , sans renoncer a nos amours , encore faut-il effectivement essayer.....( je sais pas si je suis très clair , la ... )
talking machines wrote :
j'l'aime bien moi , ma mémoire cellulaire .....; je vois ce que tu veut dire , mais dans ce cas , si la mémoire est intense en "bon souvenir " , bien plus qu'en mauvais , elle peut très bien servir l'abstinence ....
PsyLife wrote :
moi je pense quon peut y arriver après plusieurs heures d'écoutes en faisant un travail sur soi ( en étant en harmonie avec soi et bien dans sa peau) sans drogues . il faut seulement faire corps avec la musique : si tu l'aimes vraiment tu peux y arriver , question d'abitude
sanandha wrote :
hey.. Psylife, je crois que la musique n'a pas beaucoup d'impact face à cette problèmatique.. .. là il s'agit de dépendance profonde pas de retrouver le sourire un jour de pluie.