Troisième album de Shpongle. La pochette reprenant le fameux masque sur fond de circuits électriques. Simon Postford est toujours au centre du projet, Raja ram apportant flûtes et voix, A noter Hari-Om , les chants, Pete Callard pour la guitare et OTT pour les…..timbales !
1- « Botanical Dimension » Le rideau s’ouvre sur une ambiance de forêt tropicale illustrée d’ailleurs à l’intérieur de la pochette. Puis la nature s’efface pour laisser apparaître ces sons et voix filtrées… nous sommes bien dans l’univers de Shpongle ! Le beat s’installe tranquillement, il est temps de passer au morceau suivant avec 2- « Outer Shpongolia « annoncé par les accords hispanisant de la guitare de Pete Callard. L’atmosphère se fait de plus en plus aérienne, Raja Ram nous gratifie de quelques délires vocaux.
3 – « Levitation nation » nous emmène vers le Brésil et ses samples de Beja Flor ! Ou quand Simon Postford invente la samba psychédélique. Ca passe nickel.
Le voyage se continue plus à l’est avec 4 – « periscope of consciousness « Le rythme se fait plus martelant, samples et synthés en folie. Mais ce n’est qu’une intro à 5 – « Shmaltz Herring », le rythme s’envole et le morceau prend toute son ampleur. Magnifique.
Une autre partie de l’album s’ouvre avec 6- « Nothing Lasts « et 7 « Shnitzled in the negev » : quelques notes de pianos, des percussions, un son de synthé tournoyant trituré dans tous les sens, une basse répétitive, des boucles qui glissent jusqu’à l’infini….
8- « ..but nothing is lost » pourrait figurer en bonne place dans leur premier album « Are you shpongled ? « tant il en reprend le style. Et c’est un véritable régal, difficile de décrire ces instants.
9 – « When shall i be free » pour constituer le début d’une 3ème partie de l’album. La voix de Hari-om, les rythmes et mélodies orientales ( un peu à la façon de youth dans sa série in dub) vont nous amener très loin. Les images défilent dans nos esprits. 10- the stamen of the shamen nous propose un interlude cuivré pour revenir au thème précédent.
11- « Circuits of the imagination « et 12 – « Linguistic Mystic » accueillant Raja Ram et son phrasé psychédélique et bien sur sa flûte. avec 13- « Mentalism » … une recette qui dure et fonctionne depuis les Mystical Experiences bien soutenue par la programmation de Simon 14 – « invocation « , un morceau dépouillé et qui laisse la voix d’Hari-Om explorer les profondeurs un peu à la manière d’un mantra.
15 – « Molecular débute tout en finesse puis un beat plus lourd arrive ( un peu plus rapide et c’est du hallucinogen ;-) Les expériences soniques se continuent avec 16 – « Turn up the silence « mais je trouve que ce morceaux en fait trop.
2 minutes de flûtes Raja Ram pour 17 – « Exhalation « puis c’est un dans la douceur que 18 – « connoisseur of hallucinations « commence pour monter progressivement. Percus et guitare électrique se mêlent aux sons synthétiques pour se prolonger avec 19 – « the nebbish route « .
20 – « falling awake » redescend progressivement servi par une guitare acoustique un rien nostalgique.
Un seul regret, le nombre de morceaux qui n’est pas justifié (qui peut provoquer des coupures régulières dans la lecture du CD.) Pourquoi ne pas avoir fait 8 parties correspondant aux atmosphères plutôt que ces 20 pistes ?
Au final un album excellent, qui se découvre peu à peu, sans prise de tête.
1- « Botanical Dimension » Le rideau s’ouvre sur une ambiance de forêt tropicale illustrée d’ailleurs à l’intérieur de la pochette. Puis la nature s’efface pour laisser apparaître ces sons et voix filtrées… nous sommes bien dans l’univers de Shpongle ! Le beat s’installe tranquillement, il est temps de passer au morceau suivant avec 2- « Outer Shpongolia « annoncé par les accords hispanisant de la guitare de Pete Callard. L’atmosphère se fait de plus en plus aérienne, Raja Ram nous gratifie de quelques délires vocaux.
3 – « Levitation nation » nous emmène vers le Brésil et ses samples de Beja Flor ! Ou quand Simon Postford invente la samba psychédélique. Ca passe nickel.
Le voyage se continue plus à l’est avec 4 – « periscope of consciousness « Le rythme se fait plus martelant, samples et synthés en folie. Mais ce n’est qu’une intro à 5 – « Shmaltz Herring », le rythme s’envole et le morceau prend toute son ampleur. Magnifique.
Une autre partie de l’album s’ouvre avec 6- « Nothing Lasts « et 7 « Shnitzled in the negev » : quelques notes de pianos, des percussions, un son de synthé tournoyant trituré dans tous les sens, une basse répétitive, des boucles qui glissent jusqu’à l’infini….
8- « ..but nothing is lost » pourrait figurer en bonne place dans leur premier album « Are you shpongled ? « tant il en reprend le style. Et c’est un véritable régal, difficile de décrire ces instants.
9 – « When shall i be free » pour constituer le début d’une 3ème partie de l’album. La voix de Hari-om, les rythmes et mélodies orientales ( un peu à la façon de youth dans sa série in dub) vont nous amener très loin. Les images défilent dans nos esprits. 10- the stamen of the shamen nous propose un interlude cuivré pour revenir au thème précédent.
11- « Circuits of the imagination « et 12 – « Linguistic Mystic » accueillant Raja Ram et son phrasé psychédélique et bien sur sa flûte. avec 13- « Mentalism » … une recette qui dure et fonctionne depuis les Mystical Experiences bien soutenue par la programmation de Simon 14 – « invocation « , un morceau dépouillé et qui laisse la voix d’Hari-Om explorer les profondeurs un peu à la manière d’un mantra.
15 – « Molecular débute tout en finesse puis un beat plus lourd arrive ( un peu plus rapide et c’est du hallucinogen ;-) Les expériences soniques se continuent avec 16 – « Turn up the silence « mais je trouve que ce morceaux en fait trop.
2 minutes de flûtes Raja Ram pour 17 – « Exhalation « puis c’est un dans la douceur que 18 – « connoisseur of hallucinations « commence pour monter progressivement. Percus et guitare électrique se mêlent aux sons synthétiques pour se prolonger avec 19 – « the nebbish route « .
20 – « falling awake » redescend progressivement servi par une guitare acoustique un rien nostalgique.
Un seul regret, le nombre de morceaux qui n’est pas justifié (qui peut provoquer des coupures régulières dans la lecture du CD.) Pourquoi ne pas avoir fait 8 parties correspondant aux atmosphères plutôt que ces 20 pistes ?
Au final un album excellent, qui se découvre peu à peu, sans prise de tête.