c est parce que tu ne connais que la contrefacon actuelle
Féru d’eaux minérales, Louis XIV réglemente leur exploitation et leur consommation. En 1718, l’étude par le Docteur Blanquet mentionne largement les propriétés chimiques et thérapeutiques de la source de Quézac.
Au milieu du XIXme siècle, le docteur Commandré, atteint d’une maladie apparentée au choléra, est soigné à l’eau de Quézac. Il achète la concession de la source et mène les premiers travaux de captage en 1859. Son fils fait construire une tourelle étanche autour de 10 points d’émergence naturelle, il fait réaliser des analyses et commande une bouteille spéciale, en verre et à bouchon en liège. Cette source est appelée La Diva et l’étiquette qui y est apposée mentionne que cette eau « débouche les conduits »… ! Fin 1901, il obtient l’autorisation d’exploitation pour 30 ans auprès du Ministère de la Santé. La bouteille est commercialisée auprès des médecins et des pharmaciens de la région.
Entre 1931 et les années 90, l’eau de Quézac n’est plus du tout exploitée, malgré quelques tentatives, mais reste accessible aux habitants, tout comme les autres résurgences du vallon.
on vas dormir moins con ce soir
Féru d’eaux minérales, Louis XIV réglemente leur exploitation et leur consommation. En 1718, l’étude par le Docteur Blanquet mentionne largement les propriétés chimiques et thérapeutiques de la source de Quézac.
Au milieu du XIXme siècle, le docteur Commandré, atteint d’une maladie apparentée au choléra, est soigné à l’eau de Quézac. Il achète la concession de la source et mène les premiers travaux de captage en 1859. Son fils fait construire une tourelle étanche autour de 10 points d’émergence naturelle, il fait réaliser des analyses et commande une bouteille spéciale, en verre et à bouchon en liège. Cette source est appelée La Diva et l’étiquette qui y est apposée mentionne que cette eau « débouche les conduits »… ! Fin 1901, il obtient l’autorisation d’exploitation pour 30 ans auprès du Ministère de la Santé. La bouteille est commercialisée auprès des médecins et des pharmaciens de la région.
Entre 1931 et les années 90, l’eau de Quézac n’est plus du tout exploitée, malgré quelques tentatives, mais reste accessible aux habitants, tout comme les autres résurgences du vallon.
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